2015 fête le 60e anniversaire de Europe 1. Née en 1955, la station a évoluée beaucoup depuis. Elle a vu de grands noms de la radio française. Europe 1 était entre autres réputée pour son carillon horaire, quelque peu semblable à celui utilisé dans les stations du réseau radiophonique et télévisuel américain NBC à partir des années 30. Toutefois, son carillon était mécanique comparativement à son pendant américain qui était à l’origine un annonceur jouant du xylophone et qui fut changé rapidement par un carillon mécanique.

Europe 1 diffusera une journée spéciale le 4 février prochain avec des invités et une programmation tout aussi spéciale :

Europe 1 fête comme il se doit ses 60 ans cette année ! Prévue à la base le 13 janvier dernier, mais annulée suite aux attentats de Charlie Hebdo, la journée spéciale anniversaire aura lieu ce mercredi 4 février. Des voix qui ont marqué l’histoire de la radio reprendront le micro lors de cette journée.

La matinale rassemblera des noms bien connus, certains ayant déjà officié à la matinale : Pierre Bonte à 5h20, Eugène Saccomano à 6h10, Jérôme Bonaldi à 6h40, Philippe Gildas à 7h40, Jean Boissonnat à 8h10, Ivan Levaï qui reprendra la revue de presse de 8h30, et Pierre Lescure à 9h05.

Suite : http://technic2radio.fr/europe-1-fete-ses-60-ans-le-4-fevrier

Étonnamment, le site internet de Europe 1 n’a pas de section relatant à proprement dit l’histoire de la station. Toutefois, une page est consacré à quelques moments forts sous forme d’archives audio que l’on peut retrouver ici. Je me permets donc de retranscrire ici ce que dit wikipédia au sujet de Europe 1.

L’origine de la station remonte à l’immédiat après-guerre en 1945, lorsque Charles Michelson, bénéficiaire en 1939 d’une concession pour exploiter une radio à Tanger alors zone internationale, voit son projet annulé à la Libération[pas clair]. Michelson reçoit en compensation la concession pour 5 ans des fréquences ondes courtes de la principauté de Monaco. Il réussit à l’échanger en autorisation d’établir la chaîne de télévision Télé Monte-Carlo, dans la principauté grâce à une décision du ministre concerné sur le départ, François Mitterrand. Il crée alors la société de droit monégasqueImage et Son. Il prépare en secret le lancement de Télé-Sarre et d’Europe N°11.

Localisation de la Sarre en violet (la RFA est en bleue, la RDA est en rouge et Berlin-Ouest en jaune).

En 1952, le monopole de la télévision et de la radiodiffusion dans le protectorat français de la Sarre, indépendant de la République fédérale d’Allemagne (RFA), est attribué à M. Michelson et à sa société. En contrepartie de la création d’une chaîne de télévision germanophone régionale baptisée Télé-Saar, il obtient des autorités, la concession d’un émetteur de puissance pour une « périphérique », échappant au monopole français de la radiodiffusion.

Pour concevoir les programmes de la nouvelle station baptisée Europe no 1, Michelson recrute Louis Merlin, artisan du succès de Radio Luxembourg. Il débauche également Pierre Sabbagh, le créateur du journal télévisé français, pour diriger la rédaction et Pierre Delanoë pour diriger les programmes de la station qui privilégient alors la pop musique. Europe no 1 s’installe au 26 bis rue François Ier à Paris, dans les anciens studios de Voice of America.

La première émission expérimentale a lieu le 1er janvier 1955 à h 30 et doit s’interrompre 30 minutes plus tard car elle perturbe d’autres émetteurs. Durant les jours suivants, Europe no 1 change plusieurs fois de fréquence, brouillant l’émission d’autres stations européennes qui protestent. Ainsi, le 8 janvier, Radio Luxembourg est parasitée et bien qu’elle-même ne bénéficie alors d’aucune autorisation officielle, entend protester vigoureusement.

Il faut attendre le 3 avril 1955 pour que la station Europe no 1, reprenant l’ancienne fréquence de Radio Paris, se fixe sur 1 647 mGrandes Ondes (182 kHz), depuis l’émetteur situé sur le plateau du Felsberg, près de Sarrelouis(Saarlouis) en Sarre.

Parmi les programmes qui contribuent à la notoriété d’Europe no 1 dès 1955, figure l’émission « La question » consacrée à la torture en Algérie, un sujet refusé par les stations et chaînes publiques. La situation de l’émetteur en Sarre lui garantissant une certaine indépendance, la station de la rue François 1er traite de cette actualité tabou à l’instar de sa concurrente directe Radio Luxembourg2.

En septembre 1955, Sylvain Floirat est appelé par le gouvernement français pour reprendre la société Europe no 1, dont le sort incertain consécutif aux premières difficultés de la station, déclenche la polémique à l’Assemblée nationale. Michelson cède l’entreprise qu’il a créée à la future Sofirad, pour une somme estimée comme considérable pour l’époque, soit 245 millions de francs. L’État en devint propriétaire au mois de juillet 1956. La régie publicitaire Régie no 1 est créée en 1960. Toutefois en 1962, après le succès remporté par la station, Michelson tente de renégocier cet accord auprès des tribunaux, en vain. La polémique qui s’ensuit atteint le sommet des États français et monégasque. La presse relate alors ces péripéties dont un article des quotidiens Le Monde daté du 27 janvier 1962 et Le Figaro, le jour suivant.

À partir de 1959, l’État prend le contrôle d’une partie du capital (35 %) de la société par l’intermédiaire de la SOFIRAD.

La naissance de la station coïncide avec l’apparition de trois inventions qui engendrent une influence significative sur son style : le nagra (magnétophone portable procurant une plus grande souplesse d’intervention et d’autonomie aux reporters), le transistor qui favorise l’écoute individuelle de la radio en déplacement notamment, celle des jeunes ainsi que le disque microsillon lequel permet de substantielles économies pour la rediffusion d’œuvres musicales en grande qualité.

Maurice Siegel modifie sensiblement le style des journaux parlés, permettant à Europe no 1 d’acquérir une certaine réputation dans le domaine de l’information.

Parmi les premières émissions à succès d’Europe no 1, on compte « Pour ceux qui aiment le jazz » et le « café de l’Europe » (1955), « Signé Furax » et « Vous êtes formidables » (1956), ou encore « Salut les copains » et « La Coupe des reporters » (1959).

En 1968, Europe no 1, surnommée par certains « Radio Barricades », est accusée par les autorités de donner une version trop favorable aux manifestants des événements de mai 68. Le ministre de l’Intérieur, estimant que les reportages en direct des radios périphériques (dont Europe no 1) créent un danger pour l’ordre public, interdit l’usage des voitures émettrices durant plusieurs jours. Sur ordre de Matignon, le ministre de l’Intérieur fait également couper les fréquences des stations périphériques pour contrer la diffusion en direct des manifestations. Plusieurs journalistes jugés trop engagés sont licenciés l’année suivante, à l’instar des antennes radio et télévision du service public.

En 1974, le nouveau président de la République Valéry Giscard d’Estaing et son Premier ministre Jacques Chirac, accusant la radio de « persifler », poussent le directeur Maurice Siegel et plusieurs autres dirigeants à la démission. Jean-Luc Lagardère reprend alors en main la société, assisté d’Étienne Mougeotte, directeur d’antenne. À partir de 1976, la radio parvient en tête des audiences, devant RTL puis France Inter. Durant ces années 1970, Europe N°1 est alors la grande station de l’information, avec ses flashes et ses journaux présentés par André Arnaud (Europe Midi et Europe Soir), ses signatures journalistiques (Jean-Claude Dassier, Guillaume Durand, Olivier de Rincquesen, Jean-François Kahn, Jean-Pierre Joulin…), et ses correspondants ou envoyés spéciaux (François Ponchelet, Alexandre Fronty, Patrick Meney) présents sur tous les points chauds du monde.

Après l’élection de François Mitterrand en 1981, Étienne Mougeotte est amené à démissionner. La gauche met en place la nouvelle direction et s’immisce dans les choix éditoriaux de la radio, à l’instar du pouvoir précédent. Les radios privées désormais autorisées sur la bande FM ponctionnent une partie de l’audience d’Europe 1 qui amorce alors son déclin. Philippe Gildas prend la tête de la direction de l’antenne. Sont créés le Top 50 et de nouvelles émissions insolentes, comme « Radio Libre à … » animé par François Jouffa et Viviane Blassel, parmi lesquelles le rendez-vous animé par Coluche. Toutefois, l’ensemble des radios généralistes voient fondre leur audience face aux radios FM et face aux émissions télévisées de plus en plus efficaces.

Le 30 mars 1983, Europe no 1 change de nom et devient Europe 1.

Le 3 avril 1986, la SOFIRAD vend à Jean-Luc Lagardère et à sa société Hachette sa participation de 34,9 % dans Europe 1. La radio est ainsi complètement privatisée.

Jean-Yves Lafesse à gauche et Philippe Gildas à droite, dans un studio de la station en juin 1993.

En 1995, Europe 1, passe de la seconde position à la cinquième position des stations les plus écoutées, avec moins de 10 % d’audience. Jérôme Bellay, le créateur de France Info, devient directeur général de l’antenne en 1996.

Dès janvier 1997, Europe 1 change de format : la musique est retirée de l’antenne (notamment Vinyl Fraise quotidien par François Jouffa), l’émission F.M. en stéréophonie est supprimée et la diffusion se fait en voie monaurale, la station adopte le format de « news & talk ». Le célèbre carillon marquant les heures de la station est changé. La musique, le divertissement et les jeux sont supprimés des programmes et la part belle est faite aux actualités et à l’interactivité avec les auditeurs.

En juin 2004, Europe 1 comptait 192 fréquences à travers la France.

Le 8 avril 2005, Arnaud Lagardère, Président-directeur général de Lagardère Active, pôle audiovisuel de Lagardère SCA, nomme Jean-Pierre Elkabbach directeur général de l’antenne d’Europe 1, en remplacement de Jérôme Bellay, et administrateur de Lagardère Active Broadcast.

La rentrée 20052006 est marquée par un nouveau logo, un nouveau slogan (« Parlons-nous! ») et un nouvel habillage sonore. Légère modification du fameux carillon, emblème de la station.

Le 18 juin 2008, Alexandre Bompard, directeur des sports de Canal+ depuis 2005, devient président de la station, et de sa filiale Sport, à la place de Jean Pierre Elkabbach. Ce dernier, qui conserve son interview quotidienne ainsi que son interview dominicale sur Europe 1, prend la tête de Lagardère News, le nouveau pôle de coordination des médias de Lagardère SCA3,4. Alexandre Bompard modifie considérablement l’équipe et la grille des programmes5, en évinçant les présentateurs Laurent Baffie, Frédéric Taddéi, Franck Ferrand, Marc Menant, Michel Cymes, Mazarine Pingeot, Constance Chaillet et Nathalie Saint-Cricq6 et la direction de la rédaction (Benoit Duquesne, directeur de la rédaction, et Jérôme Dorville son adjoint) et en recrutant plusieurs personnalités de la télévision ou des voix de stations concurrentes, Marc-Olivier Fogiel (venu en provenance de M6 et RTL pour la matinale), Michel Drucker (toujours sur France Télévisions pour une quotidienne en matinée), Marie Drucker (toujours sur France Télévisions) et Patrick Cohen (venu en provenance de Radio France, pour la tranche du soir). Nicolas Canteloup (le matin), Jean-Marc Morandini (le midi), Laurent Ruquier (en fin d’après-midi) restent à l’antenne, tout comme Jacques Pradel et Faustine Bollaert avec une nouvelle émission chacun en début d’après-midi.

Alexandre Bompard renforce le sport à l’antenne avec notamment des émissions sportives de 15 h à 23 h chaque week-end7. Pour diriger les sports, il compte sur Thierry Clopeau (venu de France Télévisions)8 assisté de Laurent Jaoui (venu de France Télévisions)9. Alexandre Delpérier : Europe 1 Foot et le Club Sports Europe 1 et Alexandre Ruiz : Les Grands Directs du Sport) deviennent les animateurs sportifs de la station à la place de Christian Jeanpierre et Laurent Luyat7.

Les émissions phares de l’antenne sont Europe 1 Matin, présentée par Marc-Olivier Fogiel (hh 30), On va s’gêner (16 h18 h) animée par Laurent Ruquier, Europe 1 Foot (20 h22 h 30) animée par Alexandre Delpérier et Le Grand Direct (11 h14 h) de Jean-Marc Morandini. La station gagne des auditeurs et dépasse dès novembre 2008 le cap des 5 millions d’auditeurs chaque jour selon Médiamétrie.

La rentrée 2009 marque aussi un grand changement avec un nouveau slogan (« Bien entendu ») et l’arrivée de Nagui au h 3011 h pour un jeu en replacement de Michel Drucker qui part, lui, animer un talk-show culturel de 19 h20 h 30 avec Wendy Bouchard. L’émission de Laurent Ruquier est rallongée d’une demi-heure pour finir à 18 h 30 et Jean-Marc Morandini rénove profondément sa tranche du Grand direct de 11 h à 13 h 30. Guy Carlier rejoint la matinale qui commence désormais à h 30, tout comme Anne Roumanoff, également à la tête d’une émission hebdomadaire le samedi de 11 h à 12 h. Le Top 50 fait son retour le samedi de 15 à 16 h, présenté par Aline Afanoukoé. Les Grands Directs du Sport animé par Alexandre Ruiz chaque samedi et dimanche est supprimée seuls Le Multiplex Europe 1-Ligue 2, Le Multiplex Europe 1-Ligue 1 et Le Grand Match du dimanche sont conservés.

À partir de décembre 2009, la matinale débute en direct dès h 30 contre 5 heures auparavant10, présentée par Pascal Humeau puis par Benjamin Petrover à partir de février 201011.

En mars 2010, Alexandre Delpérier est mis à pied pour avoir présenté une conférence de presse de Raymond Domenech et de Thierry Henry comme un entretien exclusif12, et démissionne quelques jours plus tard13. Alexandre Ruiz le remplace alors jusqu’à la fin de la saison et Martial Fernandez d’Europe 1 Sport devient commentateur des Grands Prix de Formule 1.

La rentrée 2010 se caractérise par un recentrage sur l’information. La grande tranche Europe 1 soir de 18 h à 20 h est rétablie avec l’arrivée de Nicolas Demorand, de la matinale de France Inter, qui la fonde sur le débat d’actualité entre des polémistes récurrents14. En soirée, du lundi au jeudi, Pierre-Louis Basse dirige ensuite Bienvenue chez Basse de 20 h à 22 h, une série de débats (culture, sport, société)14 en lieu et place de la tranche sportive15. Wendy Bouchard est à la tête d’une nouvelle session d’information, Le 22-23, qui inclut le journal de Jean-Michel Dhuez à 22 h 30, avant la Libre antenne de Caroline Dublanche à 23 h16.

À h 30, le jeu Le Carré magique prend la place de Décrochez le soleil, Nagui étant rejoint par Laurence Boccolini et Pierre Lescure17. Le Grand direct de Jean-Marc Morandini est restructuré : si le Grand direct des médias conserve le créneau 11 h12 h, le Grand direct de l’info de 12 h à 13 h 30 est renforcé (journal avancé à 12 h, débat à 12 h 20, auditeurs à 12 h 40, conseils pratiques des experts repoussés à 13 heures). À 13 h 30, le Café découvertes de Michel Field remplace le Café crimes de Jacques Pradel (parti pour RTL)14. Les émissions Et si c’était ça le bonheur ? de Faustine Bollaert et On va s’gêner de Laurent Ruquier sont avancées de trente minutes, respectivement à 14 h 30 et 15 h 3014. Guillaume Cahour anime Europe 1 week-end le samedi et le dimanche de h à h et devient le nouveau joker de Marc-Olivier Fogiel18. Aymeric Caron quant à lui présente un nouveau talk-show d’information, Vous allez en entendre parler, le dimanche de 19 h à 20 h19.

En janvier 2011, après le départ d’Alexandre Bompard fin 2010 et l’annonce d’audiences décevantes avec une perte de 500000 auditeurs en un an, Nicolas Demorand et Marc-Olivier Fogiel annoncent tour à tour qu’ils quittent la station20. Guillaume Cahour reprend donc la matinale en semaine (Aymeric Caron celles du week-end)21 tandis que Nicolas Poincaré, venu de France Info succède à Nicolas Demorand à la tête du 18 h20 h22. Parallèlement, Jean-Marc Morandini ne présente plus que Le Grand Direct des Médias entre 11 h et 12 h (ainsi qu’une nouvelle chronique dans la matinale23), tandis que Patrick Roger reprend la présentation de la tranche de 12 h à 13 h 30, en baisse d’audiences de 8 % sur un an24. Enfin, de 13 h 30 à 14 h 30, Franck Ferrand reprend la case du Café découvertes de Michel Field avec une émission sur l’histoire22.

Fin juin 2011, l’émission C’est quoi ce bordel ? de Laurent Baffie s’arrête, officiellement pour des raisons financières25.

À la rentrée de septembre 2011, Bruce Toussaint prend la tête de la matinale de la station (Europe 1 Matin)26, tandis que Guillaume Cahour reprend la tranche de la mi-journée27. Dans cette matinale, Nikos Aliagas réalise, de manière quotidienne, une interview d’une personnalité faisant l’actualité28. Guy Carlier arrête sa chronique La douche froide en raison de la tournée de son spectacle et assure une chronique dominicale29dans Europe 1 week-end repris par Benjamin Petrover devenu nouveau Joker de Bruce Toussaint30. Carlier est remplacé dans la matinale par Laurent Ruquier pour une chronique humoristique Presse papier31. Alexandre Adler, lui, propose un « regard sur le monde » à 8 heures 15. L’émission de Jean-Marc Morandini consacrée aux médias sur Europe 1 voit son horaire avancer pour être diffusée de h 30 à 10 h 3027. Elle est suivie par l’émission Faites entrer l’invité de Michel Drucker jusqu’à midi27. Concernant la tranche de l’après 20 h, Pierre Louis Basse arrête son émission Bienvenue chez Basse, remplacée de 20 h à 21 h, par l’émission Des clics et des claques présentée par Laurent Guimier. Puis de 21 h à 22 h 30Michel Field anime une émission culturelle Rendez-vous à l’hôtel32.

Pour la rentrée 2012, un carillon légèrement retouché est mis à l’antenne fin août 2012.

À partir du 26 août 2013, à 5 heures, Marion Calais remplace Emmanuel Maubert dans une pré-matinale rebaptisée « Europe 1 Bonjour ». Thomas Sotto succède à Bruce Toussaint dans « Europe Matin » (6 heures – 9 heures). En seconde moitié de matinée (10 heures 30 – 12 heures 30), Cyril Hanouna, avec « Les pieds dans le plat », remplace Michel Drucker. « Europe Midi » (12 heures 30 – 14 heures) est désormais dirigé par Wendy Bouchard au lieu de Patrick Roger. Le duo Guy Birenbaum et David Abiker reprend « Des clics et des claques » à partir de 20 heures ; ils en étaient coprésentateurs derrière Bérengère Bonte la saison précédente. De 21 heures à 22 heures 30, Frédéric Taddéï anime une nouvelle émission culturelle : « Europe 1 Social Club ». De 22 heures 30 à 23 heures, sous le nom d' »Europe Nuit », Emmanuel Faux dirige la dernière session d’information, après le départ de Jean-Michel Dhuez pour France Musique. Le vendredi soir, c’est William Galibert qui présente Europe Nuit à la place d’Emmanuel Faux.

La rentrée 2014 est mouvementée sur Europe 1. On connait maintenant le départ de Laurent Ruquier qui s’envole sur RTL après 15 années passées au sein de la maison bleue. Anne Roumanoff laisse également les clefs de son émission, Samedi Roumanoff.

Dès le 25 aout, on retrouve de 4h30 à 6h Marion Calais qui présente pour une deuxième année une pré-matinale nommée « Europe 1 Bonjour » avec Pierre De Vilno. La matinale « Europe Matin » de 6h à 9h est une année de plus dirigée par Thomas Sotto. Il est toujours accompagné de Julie, Nicolas Canteloup, Caroline Roux, Axel de Tarlé, Natacha Polony, etc. Changement du coté de Morandini qui, durant la saison 2013-2014 animait de 9h à 10h30. C’est maintenant 3h d’antenne qu’il dirige avec de 9h à 10h « Le Grand Direct des Médias », de 10 à 11, « Le Grand Direct de l’Actu » puis de 11 à 12 « le Grand Direct de la Santé ». A midi, Wendy Bouchard gagne 30 minutes de plus par rapport à l’année dernière, toujours à la tête d’ « Europe Midi ». A 14h, Franck Ferrand présente « Au Coeur de l’Histoire » pendant une heure, comme la saison passée. A 15h, Les Experts disparaissent pour laisser place à Marion Ruggieri qui présente « Il n’y en a pas deux comme elle ». De 16h à 18h30, c’est Cyril Hanouna qui remplace Ruquier avec « Les Pieds dans le Plat » qu’il animait de 10h30 à 12h30 l’année dernière. La bande Hanouna est toujours là, composée de Jean-Luc Lemoine, Valérie Benaim ou encore de Pierre Bellemare. A noter l’arrivée de Jean Pierre Foucault et de Jean Marie Bigard qui n’a pas suivi Laurent Ruquier sur RTL. Nicolas Poincaré anime toujours « Europe 1 Soir » jusqu’à 20h. Frederic Taddei anime désormais son émission de 20H à 22H et Emmanuel Faux clot l’information jusqu’à 22h30 par un « Europe Nuit » avancé d’une demie-heure. Enfin, Caroline Dublanche anime les nuits d’Europe 1 jusqu’à 1h (Sophie Peters le vendredi).

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