Une discussion dans un sous-sol, un vendredi soir, autour d’une demi-douzaine de bières, c’est bien. Même excellent.
Ça permet dans certains cas de sortir des trucs qu’il vaudrait effectivment mieux ne pas sortir quand on est avec d’autre monde.
La même conversation, à bâton rompu, devant quelques milliers d’auditeurs, ça devient malsain.
Je n’en voudrais jamais à qui que ce soit, dans une conversation entre mecs, dans un salon privé, de dire qu’il « fourrerait volontiers » une telle ou que telle autre a une « méchante paire de boules ».
C’est cru, direct, certainement pas catholique, mais privé.
Mais, au micro, non. Quand tu ne sais pas te raisonner, c’est ce qui finit par arriver.
Ce documentaire de bonne qualité. Il met en lumière l’ampleur des dégâts causés par Fillion, Arthur et CHOI. Les journaux répétaient à l’époque les mêmes 3-4 citations, ce qui donnait l’impression que les incartades étaient des faits isolés. J’ignorais la majorité des conneries dites en ondes.
Radio Monde 
Une discussion dans un sous-sol, un vendredi soir, autour d’une demi-douzaine de bières, c’est bien. Même excellent.
Ça permet dans certains cas de sortir des trucs qu’il vaudrait effectivment mieux ne pas sortir quand on est avec d’autre monde.
La même conversation, à bâton rompu, devant quelques milliers d’auditeurs, ça devient malsain.
Je n’en voudrais jamais à qui que ce soit, dans une conversation entre mecs, dans un salon privé, de dire qu’il « fourrerait volontiers » une telle ou que telle autre a une « méchante paire de boules ».
C’est cru, direct, certainement pas catholique, mais privé.
Mais, au micro, non. Quand tu ne sais pas te raisonner, c’est ce qui finit par arriver.
J’aimeJ’aime
Ce documentaire de bonne qualité. Il met en lumière l’ampleur des dégâts causés par Fillion, Arthur et CHOI. Les journaux répétaient à l’époque les mêmes 3-4 citations, ce qui donnait l’impression que les incartades étaient des faits isolés. J’ignorais la majorité des conneries dites en ondes.
J’aimeJ’aime
CHOI, c’est une discussion de sous-sol entre gars un vendredi soir, en ondes. Alain Dubuc a bien résumé ce type de radio, mieux que moi.
J’aimeJ’aime