Vous trouverez ci-dessous un condensé d’articles, de commentaires et de réactions du forum Radio Monde sur les débuts de la station CJMD 96.9 à Lévis. Des débuts laborieux, mais qui ont permis la naissance d’une station qui offre quelque chose d’un peu différent dans le marché dela grande région de Québec : http://radiomonde.1fr1.net/t8605-le-retour-de-cjmd-969-levis

Franchement, je savais que la mise en ondes de la station avait été difficile mais en relisant tout ce qui a été écrit dans le fil du forum, j’ai réalisé à nouveau combien ce fut toute une aventure rocambolesque qui a failli coûter la peau de la station. Je vous avise tout de suite qu’il y a beaucoup de stock, malgré le fait que j’ai mis quelques trucs de côté. Malgré les accrochages dans les commentaires émis par moi et d’autres intervenants, ce fut des échanges passionnants et constructifs.

En passant, le premier logo de la station


Et le plus récent :

Suite à une conversation privée que j’ai eue avec une source anonyme, il semblerait que Mathieu Gourgues aurait remis sa démission du CA de CJMD, n’ayant pas trouvé de plan de relance de la station communautaire de Lévis. Donc, à moins d’une résurrection du projet de station de radio aussi soudaine qu’innatendue, le dossier CJMD est bel et bien fermé et la station du boulevard de la Rive-Sud ne verra probablement pas le jour, à moins bien sûr qu’un autre groupe reprenne le projet et le reparte à zéro avec une nouvelle demande de licence auprès du CRTC.

Entrevue avec Francis-D. Lévesque en 2006

http://radioetcompagnie.lolforum.net/radio-f2/qui-est-francis-d-levesque-t76-120.htm?highlight=francis

On y apprend entre autres que Lévesque est un ancien de CHYZ et qu’il travaillait à une agence de promotion d’artistes MusiVraq et que Mathieu Gourgues est un ancien animateur à … CIMI-FM

Mon bout préféré de l’entrevue :

Carl Fiset a écrit:
WebSnake a écrit:Mais meme avec une antenne de faible puissance nous faisons plus que n’importe quel station jusqu’a maintenant. Nous sommes partout sans jamais l’etre. Attend de voir lorsque nous seront avec l’accord de certain palier.


« Nous sommes partout sans jamais l’être »: ça fait deux trois fois que je remarque que vous écrivez cette phrase ou quelque chose de proche à ça. Ça me donne une drôle d’impression. En tout cas, laissons la chance au coureur et soyons attentifs aux futurs développements dans ce dossier.

Merci en passant à la source anonyme qui se reconnaîtra.

Ce projet en 2006 fut tellement parti tout croche qu’il n’est pas étonnant aujourd’hui de constater la conclusion de l’histoire de CJMD. 

Québec, Québec/Chaudière-Apalaches Quebec/Chaudiere-Apalaches

CJMD-FM (Community), Lévis, Radio communautaire de Lévis

2009
On September 4, the CRTC approved an application by Radio communautaire de Lévis for a broadcasting licence to operate a French-language Type B community FM radio station in Lévis. Radio communautaire de Lévis is a not-for-profit organization controlled by its board of directors. Radio communautaire de Lévis proposed to operate the station on frequency 96.9 MHz (channel 245A1) with a maximum effective radiated power of 104 watts (maximum ERP of 165 watts with an effective height of the antenna above average terrain of 13.8 metres). The new station would offer 126 hours of local programming in each broadcast week, including 114 hours and 30 minutes of spoken word programming and 11 hours and 30 minutes of news (75% local, 15% national and 10% international). The station’s music programming would comprise pop, rock, dance, country and country-oriented, concert, folk, world beat, international and jazz and blues music. The applicant committed to devoting not less than 12% of category 3 musical selections to Canadian selections broadcast in their entirety. The applicant plans to start recruiting volunteers in the station’s first weeks of operation by contacting local volunteer organizations. Volunteer hosts of all ages would be required to undertake a complete training course such as that provided by the Collège Radio Télévision de Québec or another institution designated by the licensee. The professionals at the station would also offer training. The licence would expire 31 August 2016.

CJMD-FM began broadcasting on December 31 with a temporary permit for six months.

2010
CJMD left the air on January 31 at the request of Industry Canada due to technical issues.

Written by Bill Dulmage – June, 2010


Source : http://www.broadcasting-history.ca/index3.php?url=http%3A//www.broadcasting-history.ca/listings_and_histories/radio/listings.php%3Fpt%3D212%26r%3D232

CJMD-FM

Création 31 décembre 2009
Slogan « Une radio à l’image de sa communauté »
Langue Français
Pays Canada Canada
Statut Radio communautaire
Ancien nom RADIO CJMD 89,9
Siège social 5255, Boul de la Rive-Sud #140, Lévis Québec, Canada

CJMD-FM est la radio communautaire québécoise, qui diffuse à partir de ses studios de Lévis. C’est une radio en ligne indépendante et produite par la communauté.

En décembre 2008 la station fait officiellement sa demande auprès du CRTC pour obtenir une licence de radio communautaire de type A1. Ce qui permettra de passer d’une station de radio internet a une station de radio FM. CJMD Lévis a déposer leur demande auprès du CRTC en décembre dernier pour obtenir la frequence 96,9 FM et couvrir un plus grand territoire. Les audiences ont eu lieu le 26 mai 2009 au Centre des Congrès de Quebec.

La radio communautaire de Lévis (CJMD-FM 96,9) entra en onde officiellement le 31 décembre 2009 avec une autorisation temporaire de six mois a une puissance de 10W. Le dossier suit sont cours pour l’obtention des autorisation d’installation d’un mat d’antenne de 13,8 mètres afin de couvrir adéquatement le territoire mais cette fois avec une puissance de 165W.
Format musical [modifier]

Depuis sa création en août 2004, le mandat musical de la CJMD 89,9 se veut 100% indépendante ayant des journées musicales diverses et rock-nu-metal en soirée. Le manque de visibilité pour ce style musical dans les radios commerciales de Québec font que ceux qui s’occupent du département musical anglophone de CJMD 89,9 travaillent pour que CJMD 89,9 devienne un acteur majeur de la relève du paysage musical radio de la ville de Lévis. C’est pour cette raison que dès 18h30 à chaque soir (moment approximatif de la journée où les autres diffuseurs commerciaux de la ville commencent leur programmation musicale 100% francophone), CJMD 89,9 se veut une alternative pour l’auditeur de la région Chaudière-Appalaches (St-Romuald, St-David, Levis, Lauzon, Pintendre, Beaumont).
Mise à jour récente [modifier]

En décembre 2008 la station fait officiellement sa demande auprès du CRTC pour obtenir une licence de radio communautaire de type A1. Ce qui permettra de passer d’une station de radio internet a une station de radio FM.

La radio communautaire de Lévis est en attente de décision du CRTC pour l’obtention d’une licence de radiodifusion sur la frequence 96,9 FM.

Le CRTC approuve la demande de CJMD FM 96,9 de Lévis

La station est en onde le 31 décembre 2009 sur la bande fm au 96,9 (licence temporaire)

La station coupe le signal a la demande d’industrie Canada pour un probleme d’equipement le 31 janvier 2010

EN ATTENTE D’INDUSTRIE CANADA

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/CJMD-FM

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE – 21 JANVIER 2011

Radio communautaire de Lévis – CJMD FM

Nouvelle administration et relance
de la Radio communautaire de Lévis

Mercredi le 19 janvier 2011 se tenait à Lévis une réunion spéciale du conseil d’administration de la Radio communautaire de Lévis au cours de laquelle la corporation s’est dotée d’une nouvelle direction déterminée à mettre en ondes la station dans le délai prescrit par le CRTC lors de l’attribution de la licence, c’est-à-dire d’ici septembre prochain, et ce, dans le respect des directives techniques d’Industrie Canada.

Une seule et unique condition

La nouvelle équipe n’avait qu’une seule et unique condition à son implication : la destitution du fondateur de la Radio communautaire de Lévis, Francis D. Lévesque, en raison de ses agissements ayant nui à la corporation. La résolution adoptée à l’unanimité mentionne plus spécifiquement le fait que monsieur Lévesque n’a pas honoré le bail de location du local de la radio communautaire à la Maison de l’entrepreneur, ce qui a conduit à une saisie des équipements par le locateur et, surtout, nui à la réputation de la corporation, enfreignant ainsi l’une des « Autres dispositions » de la charte d’incorporation de la radio. Le nouveau conseil d’administration a tout de même tenu à reconnaître le franc succès des efforts déployés par monsieur Lévesque auprès du CRTC pour l’obtention de la licence de radiodiffusion. Malheureusement, comme c’est souvent le cas dans les diagnostics d’entreprises, le dirigeant principal de la Radio communautaire de Lévis est devenu le principal frein à la concrétisation du projet. Un départ volontaire aurait été préférable, mais monsieur Lévesque ne pouvant l’envisager, sa destitution s’imposait.

Assemblée générale d’ici le 31 mars prochain

Les membres du nouveau conseil d’administration se soumettront aux votes des membres lors d’une assemblée générale à tenir au plus tard le 31 mars prochain pour respecter les règlements généraux de la corporation. D’ici là, la nouvelle équipe se lancera dans les jours à venir dans une campagne intensive de recrutement de membres au sein de la communauté. Nous poursuivons un double but. D’une part, nous voulons démocratiser au maximum le fonctionnement et les opérations de la Radio communautaire de Lévis. Et d’autre part, nous voulons partager les ondes au sein de la communauté pour devenir une radio participative.

Une radio participative

Nous ne voulons pas représenter ou parler au nom de la communauté, mais plutôt faciliter sa participation directe à la programmation, d’où la création d’un poste d’administrateur délégué à la formation citoyenne et à la qualité. Cette formation sera offerte gratuitement aux individus, aux organismes et aux institutions souhaitant animer des émissions sur les ondes de la radio. Par exemple, nous envisageons fort bien une émission consacrée à l’économie animée par les organismes d’ici spécialisés dans le domaine (Chambre de commerce, Corporation de développement économique, institutions financières, ville de Lévis, etc.). Au lieu de rapporter la perception de l’état et de la vision de l’économie de Lévis de ces organismes, nous souhaitons que ces organismes s’adressent directement à la population sur les ondes de la radio grâce à un encadrement adapté aux besoins de chacun et aux normes de qualité de la radio.

À cette participation en ondes s’ajoute la participation de la communauté à l’administration même de la radio. Une résolution a été adoptée pour élargir le conseil d’administration de la radio de 7 à 12 membres.

La nouvelle administration entend aussi demander aux différentes instances phares du milieu de déléguer chacune un observateur permanent avec droit de parole aux réunions du conseil. Par exemple, nous sommes d’avis que l’administration de la Radio communautaire de « Lévis » exige un observateur délégué par la municipalité.

La licence de radiodiffusion fut remise à la corporation de la Radio mais elle appartient à l’ensemble de la population puisque c’est en son nom que la demande fut faite.

Une politique de transparence exemplaire

La nouvelle direction de la radio s’engage à agir dans une transparence exemplaire. Très bientôt, la population trouvera sur le nouveau site Internet de l’organisme tous les documents relatifs à l’administration et à la gestion du projet : ordre du jour et procès-verbaux des réunions, états financiers, correspondance, etc. On ne saurait pas envisager une radio participative sans une transparence à la hauteur voire au-delà des attentes de la population et de ses représentants.

L’aspect technique de la mise en ondes

On se souviendra que la radio communautaire de Lévis a obtenu sa licence le 4 septembre 2009 et est entrée en ondes le 31 décembre suivant sur la bande FM au 96,9 avec une licence de diffusion temporaire d’Industrie Canada, licence retirée le 31 janvier suivant pour deux raisons majeures.

Dans un premier temps, Industrie Canada a constaté que le signal émis pouvait entraîner de sérieux problèmes de brouillage des signaux émis des autres stations FM et à ceux des communi cations aéronautiques de la région.

Dans un deuxième temps, la Radio communautaire de Lévis n’a pas été capable de démon trer la conformité de son matériel d’émission avec les normes d’émission d’Industrie Canada au cours de sa période d’essais.

De plus, l’ancienne administration de la Radio n’est pas parvenue à s’entendre avec la ville de Lévis pour obtenir le permis nécessaire à l’installation de son antenne sur le toit de l’édifice où logeait la Radio communautaire.

Bref, la relance de la Radio communautaire de Lévis passe aussi par la résolution de ces problèmes techniques, et ce, avant le 4 septembre prochain puisque le CRTC a accordé à la station une période de deux ans pour entrer en ondes.

Nous avons le droit d’adresser au CRTC une demande de prorogation, mais nous croyons que si tous les intervenants dans ce dossier se mobilisent, nous pourrons rapidement résoudre ces problèmes techniques afin d’offrir à la population de Lévis la radio communautaire qu’elle mérite en ce dixième anniversaire de leur ville. L’histoire des médias électroniques de Lévis est loin d’être reluisante et nous avons besoin plus que jamais d’un succès. Qui plus est, on ne sait pas si le CRTC se risquerait à accorder une fois de plus une licence pour une radio communautaire à Lévis. Et toutes les radios commerciales établies à Lévis finissent inévitablement par se tourner vers Québec pour faire leurs frais. Or, nous avons cette licence de radio communautaire pour notre ville et nous sommes convaincus que nous pouvons honorer nos engagements, tous ensemble.

Les problèmes techniques de mise en ondes de la radio communautaire de Lévis sont aisément surmontables dans les temps qui nous sont alloués par le CRTC et dans le respect des normes de diffusion d’Industrie Canada. Au cours des jours à venir, la nouvelle administration de Radio communautaire sollicitera tous les intervenants concernés, y compris nos élus, afin de résoudre rapidement ces problèmes techniques et mettre au point l’entrée en ondes de la station.

– 30 –

Source :

Serge-André Guay, président
Radio Communautaire de Lévis inc.

20 rue Duplessis, Lévis, Québec, Canada. G6V 2L1
Téléphone : 418-903-1911
Télécopieur : 418-903-1891
Courriel : radiocommunautairedelevis@videotron.ca

Radio communautaire de Lévis
Conseil d’administration – 19 janvier 2011

Président Serge André Guay
Vice-président Pierre Pelletier
Secrétaire Renée Fournier
Trésorière par intérim Renée Fournier
Administrateur délégué au membership Mathieu Guay
Administrateur délégué à la production Lawrence Morel
Administrateur délégué à la diffusion À COMBLER
Administrateur délégué à la formation citoyenne et à la qualité Mathieu Gourgues
Administrateur délégué aux ventes et à la promotion André Beaudoin
Administrateur délégué aux multimédias Jean-François Desrosiers
Administrateur délégué responsable avec le milieu de l’éducation À COMBLER
Administrateur délégué responsable du milieu communautaire À COMBLER
Serge-André Guay est un membre du forum et est connu surtout pour son livre sur LS-Radio 1240 Lévis paru en 1980, si je ne m’abuse, et dont vous pouvez consulter des extraits ici sur le forum.

Ces gens ont jusqu’au début septembre 2011 pour régler tous les dossiers et mettre en marche la station avant le délai prescrit par le CRTC : régler les dossiers techniques, récupérer le matériel et recueillir de l’argent pour faire fonctionner la station avant cette date. Je leur souhaite sincèrement bonne chance. En espérant qu’ils pourront utiliser si nécessaire leur droit de prolongation.

Un article paru dans le journal Le peuple de Lévis :

Une nouvelle administration relance la Radio communautaire

Pierre Duquet
Générales – Publié le 21 janvier 2011 à 12:55
Serge-André Guay, président éditeur de la Fondation littéraire Fleur de Lys.
Après des mois de silence au sujet de l’avenir de la Radio communautaire de Lévis (CJMD FM), voilà qu’un nouveau conseil d’administration prend forme avec à sa présidence Serge-André Guay aussi président éditeur de la Fondation Fleur de Lys. Le président d’origine de la radio communautaire, Francis D. Lévesque aurait été destitué par le nouveau conseil d’administration.

Nous reproduisons intégralement le communiqué émis aujourd’hui par M. Guy. Des commentaires et réactions suivront dans les prochaines heures.



Le Mercredi 19 janvier 2011 se tenait à Lévis une réunion spéciale du conseil d’administration de la Radio communautaire de Lévis au cours de laquelle la corporation s’est dotée d’une nouvelle direction déterminée à mettre en ondes la station dans le délai prescrit par le CRTC lors de l’attribution de la licence, c’est-à-dire d’ici septembre prochain, et ce, dans le respect des directives techniques d’Industrie Canada.

La nouvelle équipe n’avait qu’une condition unique à son implication, soit la destitution du fondateur de la Radio communautaire de Lévis, Francis D. Lévesque, en raison de ses agissements ayant nui à la corporation. La résolution adoptée à l’unanimité mentionne plus spécifiquement le fait que M. Lévesque n’a pas honoré le bail de location du local de la radio communautaire à la Maison de l’entrepreneur, ce qui a conduit à une saisie des équipements par le locateur et, surtout, nui à la réputation de la corporation, enfreignant ainsi l’une des autres dispositions de la charte d’incorporation de la radio.

Le nouveau conseil d’administration a tout de même tenu à reconnaître le franc succès des efforts déployés par M. Lévesque auprès du CRTC pour l’obtention de la licence de radiodiffusion. Malheureusement, comme c’est souvent le cas dans les diagnostics d’entreprises, le dirigeant principal de la Radio communautaire de Lévis est devenu le principal frein à la concrétisation du projet. Un départ volontaire aurait été préférable, mais M. Lévesque ne pouvant l’envisager, sa destitution s’imposait.

Les membres du nouveau conseil d’administration se soumettront aux votes des membres lors d’une assemblée générale à tenir au plus tard le 31 mars prochain pour respecter les règlements généraux de la corporation. D’ici là, la nouvelle équipe se lancera dans les jours à venir dans une campagne intensive de recrutement de membres au sein de la communauté. Nous poursuivons un double but. D’une part, nous voulons démocratiser au maximum le fonctionnement et les opérations de la Radio communautaire de Lévis. Et d’autre part, nous voulons partager les ondes au sein de la communauté pour devenir une radio participative.

Une radio participative

Nous ne voulons pas représenter ou parler au nom de la communauté, mais plutôt faciliter sa participation directe à la programmation, d’où la création d’un poste d’administrateur délégué à la formation citoyenne et à la qualité. Cette formation sera offerte gratuitement aux individus, aux organismes et aux institutions souhaitant animer des émissions sur les ondes de la radio.

Par exemple, nous envisageons fort bien une émission consacrée à l’économie animée par les organismes d’ici spécialisés dans le domaine (Chambre de commerce, Corporation de développement économique, institutions financières, ville de Lévis, etc.). Au lieu de rapporter la perception de l’état et de la vision de l’économie de Lévis de ces organismes, nous souhaitons que ces organismes s’adressent directement à la population sur les ondes de la radio grâce à un encadrement adapté aux besoins de chacun et aux normes de qualité de la radio.

À cette participation en ondes s’ajoute la participation de la communauté à l’administration même de la radio. Une résolution a été adoptée pour élargir le conseil d’administration de la radio de 7 à 12 membres. La nouvelle administration entend aussi demander aux différentes instances phares du milieu de déléguer chacune un observateur permanent avec droit de parole aux réunions du conseil. Par exemple, nous sommes d’avis que l’administration de la Radio communautaire de Lévis exige un observateur délégué par la municipalité.

La licence de radiodiffusion fut remise à la corporation de la Radio mais elle appartient à l’ensemble de la population puisque c’est en son nom que la demande fut faite. La nouvelle direction de la radio s’engage à agir dans une transparence exemplaire. Très bientôt, la population trouvera sur le nouveau site Internet de l’organisme tous les documents relatifs à l’administration et à la gestion du projet : ordre du jour et procès-verbaux des réunions, états financiers, correspondance, etc. On ne saurait pas envisager une radio participative sans une transparence à la hauteur voire au-delà des attentes de la population et de ses représentants.

L’aspect technique de la mise en ondes

On se souviendra que la radio communautaire de Lévis a obtenu sa licence le 4 septembre 2009 et est entrée en ondes le 31 décembre suivant sur la bande FM au 96,9 avec une licence de diffusion temporaire d’Industrie Canada, licence retirée le 31 janvier suivant pour deux raisons majeures.

Dans un premier temps, Industrie Canada a constaté que le signal émis pouvait entraîner de sérieux problèmes de brouillage des signaux émis des autres stations FM et à ceux des communi- cations aéronautiques de la région.

Dans un deuxième temps, la Radio communautaire de Lévis n’a pas été capable de démontrer la conformité de son matériel d’émission avec les normes d’émission d’Industrie Canada au cours de sa période d’essais.

De plus, l’ancienne administration de la Radio n’est pas parvenue à s’entendre avec la ville de Lévis pour obtenir le permis nécessaire à l’installation de son antenne sur le toit de l’édifice où logeait la Radio communautaire. Bref, la relance de la Radio communautaire de Lévis passe aussi par la résolution de ces problèmes techniques, et ce, avant le 4 septembre prochain puisque le CRTC a accordé à la station une période de deux ans pour entrer en ondes.

Nous avons le droit d’adresser au CRTC une demande de prorogation, mais nous croyons que si tous les intervenants dans ce dossier se mobilisent, nous pourrons rapidement résoudre ces problèmes techniques afin d’offrir à la population de Lévis la radio communautaire qu’elle mérite en ce dixième anniversaire de leur ville.

L’histoire des médias électroniques de Lévis est loin d’être reluisante et nous avons besoin plus que jamais d’un succès. Qui plus est, on ne sait pas si le CRTC se risquerait à accorder une fois de plus une licence pour une radio communautaire à Lévis. Et toutes les radios commerciales établies à Lévis finissent inévitablement par se tourner vers Québec pour faire leurs frais.

Or, nous avons cette licence de radio communautaire pour notre ville et nous sommes convaincus que nous pouvons honorer nos engagements, tous ensemble.

Les problèmes techniques de mise en ondes de la radio communautaire de Lévis sont aisément surmontables dans les temps qui nous sont alloués par le CRTC et dans le respect des normes de diffusion d’Industrie Canada.

Au cours des jours à venir, la nouvelle administration de Radio communautaire sollicitera tous les intervenants concernés, y compris nos élus, afin de résoudre rapidement ces problèmes techniques et mettre au point l’entrée en ondes de la station.



Source: Serge-André Guay, président Radio Communautaire de Lévis inc.

20 rue Duplessis, Lévis, Québec, Canada. G6V 2L1 Téléphone : 418-903-1911 Télécopieur : 418-903-1891 Courriel: radiocommunautairedelevis@videotron.ca.


Source : http://journallepeuple.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=174868&id=515&classif=Derni%E8re+heure

lradioquebec-fm a écrit:«oui… prochaine réunion le 19 janvier. 2011

Sauf qu’il faut que cette rencontre soit légal au sens de la loi en premier lieux. Avec des membre en règle de la station. Compte tenu que les administrateur immédiat doivent être convoqué.

Administrateur actuel:

Francis-D Levesque 
Brigitte Nantel
Steeve Lapointe

Donc je vois mal la participation a une rencontre de facon illégale par des gens qui ne sont aucunement membre ni faisant partie de l’administratif.


CJMD : Francis D. Lévesque démis de ses fonctions
Publié le 21 janvier 2011 13h38

Par Marie-Christine Patry

mc.patry@journaldelevis.com

Rassemblé lors d’une réunion spéciale le 19 janvier dernier à Lévis, le conseil d’administration de la Radio communautaire de Lévis s’est doté d’une nouvelle direction déterminée à mettre en ondes la station dans le délai prescrit par le CRTC lors de l’attribution de la licence, soit avant le mois de septembre prochain. C’est du moins ce qu’a fait savoir le nouveau président Serge-André Guay, par voie de communiqué.

La nouvelle équipe posait toutefois une condition : la destitution du président et fondateur de CJMD, Francis D. Lévesque. « La résolution adoptée à l’unanimité mentionne plus spécifiquement le fait que M. Lévesque n’a pas honoré le bail de location du local de la radio communautaire à la Maison de l’entrepreneur, ce qui a conduit à une saisie des équipements par le locateur et, surtout, nui à la réputation de la corporation, enfreignant ainsi l’une des « Autres dispositions » de la charte d’incorporation de la radio », écrit-il. Il poursuit toutefois que les nouveaux membres du c.a tiennent à reconnaître une partie de son travail, entre autres l’obtention de la licence auprès du CRTC.

Une assemblée générale devrait se tenir au plus tard le 31 mars prochain afin de soumettre les membres du nouveau conseil d’administration aux votes des membres. Entre temps, la nouvelle équipe tentera de recruter des nouveaux membres dans la communauté. « Nous poursuivons un double but, soutient M. Guay. D’une part, nous voulons démocratiser au maximum le fonctionnement et les opérations de la Radio communautaire de Lévis. Et d’autre part, nous voulons partager les ondes au sein de la communauté pour devenir une radio participative ».

Pour ce faire, la nouvelle équipe s’est donné une politique de transparence. La population pourra donc avoir accès, sur un site Internet, à tous les documents relatifs à l’administration et à la gestion du projet : ordre du jour et procès-verbaux des réunions, états financiers, correspondance, etc.

D’ici la mise en ondes, l’équipe devra s’atteler à la résolution de plusieurs problèmes techniques qui avait obligé Industrie Canada à retirer la licence temporaire de la radio. Rappelons également que l’ancienne administration de la radio n’était pas arrivée à s’entendre avec la Ville de Lévis pour obtenir le permis nécessaire à l’installation de son antenne sur le toit de l’édifice où logeait la Radio communautaire. Et le tout doit être réglé avant le 4 septembre prochain puisque le CRTC a accordé à la station une période de deux ans pour entrer en ondes. M. Guay soutient que ces problèmes sont aisément surmontables dans ce délai.

Source : http://www.icilevis.com/fr/accueil-lecture.aspx?sortcode=1&id_article=4415

Relance de la Radio communautaire: la suite

Pierre Duquet
Générales – Publié le 23 janvier 2011 à 09:00
Qu adviendra-t-il de la radio communautaire de Lévis
Le retour en ondes de la Radio communautaire de Lévis (CJMD FM), silencieuse depuis des mois, pourrait se concrétiser avant la fin de 2011. En effet, un nouveau conseil d’administration, avec à sa présidence Serge-André Guay, entend reprendre le collier après avoir destitué Francis D. Lévesque de son poste de président.

C’est lors d’une réunion extraordinaire du conseil d’administration de la Radio communautaire de Lévis, tenue le 19 janvier, que cette corporation s’est dotée d’une nouvelle direction. Le nouveau président, Serge-André Guay, a publié un communiqué le 21 janvier pour en informer la presse. Le Journal Le Peuple s’est entretenu avec lui dans les heures qui ont suivi.

«La nouvelle direction est déterminée à mettre en ondes la station dans le délai prescrit par le CRTC lors de l’attribution de la licence, c’est-à-dire d’ici septembre prochain, et ce, dans le respect des directives techniques d’Industrie Canada», a confirmé Serge-André Guay. Toutefois, la nouvelle équipe entend s’attaquer à la relance sans Francis D. Lévesque, qui a piloté le projet devant le CRTC.

La résolution adoptée à l’unanimité par le nouveau conseil mentionne le fait «que M. Lévesque n’a pas honoré le bail de location du local de la radio communautaire à la Maison de l’entrepreneur, ce qui a conduit à une saisie des équipements par le locateur et, surtout, nui à la réputation de la corporation, enfreignant ainsi l’une des autres dispositions de la charte d’incorporation de la radio». Considéré comme «le principal frein à la concrétisation du projet», M Lévesque a été destitué de sa fonction de président. Il n’était pas présent à la réunion.

M. Guay soutient que ce processus est légal. «La corporation n’a pas tenu d’assemblée générale depuis sa fondation, explique-t-il, donc les membres du c.a. se trouvent à être les signataires de la charte. Dans les règlements généraux, un seul administrateur peut prendre la décision de convoquer une réunion extraordinaire, c’est ce que Mathieu Gourgues a fait.» Mathieu Gourgue siégeait au précédent conseil d’administration présidé par Francis D. Lévesque.

Le nouveau conseil d’administration est formé de huit personnes et a été élargi à 12 membres. Il reste donc des postes à combler. M. Guay a toutefois admis avoir volontairement omis de mentionner dans son communiqué, en version intégrale sur le site du journal, que le nouveau c.a. constitué était «provisoire». En effet, une assemblée générale devra être tenue au plus tard le 31 mars prochain pour accepter ou non les nouveaux administrateurs désignés.

Source : http://journallepeuple.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=174981&id=515&classif=Nouvelles

La résolution adoptée à l’unanimité par le nouveau conseil mentionne le fait «que M. Lévesque n’a pas honoré le bail de location du local de la radio communautaire à la Maison de l’entrepreneur, ce qui a conduit à une saisie des équipements par le locateur et, surtout, nui à la réputation de la corporation, enfreignant ainsi l’une des autres dispositions de la charte d’incorporation de la radio». Considéré comme «le principal frein à la concrétisation du projet», M Lévesque a été destitué de sa fonction de président. Il n’était pas présent à la réunion.

M. Guay soutient que ce processus est légal. «La corporation n’a pas tenu d’assemblée générale depuis sa fondation, explique-t-il, donc les membres du c.a. se trouvent à être les signataires de la charte. Dans les règlements généraux, un seul administrateur peut prendre la décision de convoquer une réunion extraordinaire, c’est ce que Mathieu Gourgues a fait.» Mathieu Gourgue siégeait au précédent conseil d’administration présidé par Francis D. Lévesque.

Sauf qu’il faut que cette rencontre soit légal au sens de la loi en premier lieux. Avec des membre en règle de la station. Compte tenu que les administrateur immédiat doivent être convoqué.

Administrateur actuel:

Francis-D Levesque
Brigitte Nantel
Steeve Lapointe

Donc je vois mal la participation a une rencontre de facon illégale par des gens qui ne sont aucunement membre ni faisant partie de l’administratif.

Ça peut peut-être répondre à l’objection…

Francis-D, Lévesque a écrit:
tiens un document important.

La lettre de demission de M. Gourgues. Dans les reglement généraux ca dit. Que seulement les membres en regle du comité peuvent demander une tel rencontre. Donc aucun membre a cette date. Donc pas d’assemblée générale. De plus pour convoqué une rencontre ils doivent etre parmis le comité d’administration. Donc ce n’est pas le cas non plus. Compte tenu de leur démission. Beaudoin en mars et Gourgues en Juillet. lettre et résolution a l’appui.

Donc faut pousser égale. Oui nous avons fait une erreur. Mais pas celle la. Celle de les avoir laisser mettre a terre un projet important pour Lévis de facon illégale et mensongère.


Ce qui est plus décisif pour le nouveau CA, c’est qu’il n’y aucun d’entre eux qui est détenteur de la licence. Le détenteur est Lévesque…Francis D. Lévesque entend réagir par voie de communiqué, dès lundi, pour démontrer que M. Guay et ses administrateurs sont dans l’illégalité. Il soutient en outre qu’il est toujours en relation avec Industrie Canada et le CRTC, mais que les réponses de ces organismes sont toujours longues à venir. «Il ne faut pas oublier que je suis détenteur de la licence et que dans le pire des cas, je pourrais la retourner au CRTC», a conclu M. Lévesque.


Francis D. Lévesque ne veut pas lâcher prise

Pierre Duquet
Générales – Publié le 23 janvier 2011 à 09:00
Francis D. Lévesque ne lâche pas prise. Photo: Pierre Duquet
Le président destitué de la Radio communautaire de Lévis (CJMD FM), Francis D. Lévesque considère comme illégale la création d’un nouveau conseil d’administration, dont le nouveau président provisoire, Serge-André Guay, a fait l’annonce le 21 janvier.

Joint au téléphone, M. Lévesque a affirmé que deux des membres de l’ancien c.a. nommément Mathieu Gourgues et André Beaudoin, qui ont participé à la création du nouveau, avaient officiellement démissionné de leur poste. Il en donne pour preuve, en qui concerne M. Gourgues, la copie de sa lettre de démission datée du 15 juillet 2010.

En ce qui a trait à M. Beaudoin, qui était à la réunion de constitution du nouveau c.a., il a lui aussi démissionné, prétend M. Lévesque, au mois de mars 2010. Toutefois, il admet n’avoir pas pu prendre possession de cette lettre. «À cette époque, explique M. Lévesque, je n’avais plus accès à la boîte postale de la station.»

Ce dernier, assure cependant que M. Beaudoin lui a confirmé sa démission par téléphone par la suite. Pour sa part, Serge-André Guay, confirme que la lettre de démission recommandée de M. Beaudoin ne s’est pas rendue à M. Lévesque pour une quelconque raison. «M. Beaudoin, explique-t-il, nous a montré la lettre recommandée qu’il avait envoyée, non décachetée. Donc, on a considéré que sa démission n’était pas effective.»

M. Lévesque ne l’entend pas de cette manière. Selon lui, la dernière résolution du conseil d’administration «légalement constitué» indique qu’il est composé de lui-même à titre de président, de Brigitte Nantel, administratrice et secrétaire-trésorière, et de Steeve Lapointe, administrateur.

Francis D. Lévesque entend réagir par voie de communiqué, dès lundi, pour démontrer que M. Guay et ses administrateurs sont dans l’illégalité. Il soutient en outre qu’il est toujours en relation avec Industrie Canada et le CRTC, mais que les réponses de ces organismes sont toujours longues à venir. «Il ne faut pas oublier que je suis détenteur de la licence et que dans le pire des cas, je pourrais la retourner au CRTC», a conclu M. Lévesque.



Texte source : http://journallepeuple.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=174980&id=515&classif=Nouvelles


Francis-D. Lévesque a écrit:
Pour se venger ou simplement se débarrasser d’un projet dont il ne fera pas parti, il pourrait simplement remettre la licence au CRTC et toutes les actions entreprises par la nouvelle organisation seront vaines.

Non simplement car leur procèdure est illégale. Comme si je pourrait mettre un comité provisoire et nommer un nouveau c.a et reprendre Moison Québec et mettre le DG dehors comme ca. Faut être dans le C.A et etre membre en regle. Ce n’est pas le cas. Et ce projet ne sera pas dans les main de certain qui désire faire de l’ancien CIMI avec.

Je comprends votre point. Cependant, le temps manque selon moi pour n’importe qui dans ce dossier. Le temps de démontrer selon la loi qu’une procédure est illégale, il n’y aura plus de licence de toute façon car le dossier doit être réglé au 4 septembre prochain. Ce que j’ai écrit est une possibilité. Vous ne voulez pas lâcher prise dans le dossier et vous avez épuisé vos munitions. Qu’est-ce qui vous reste à faire personnellement?

Francis-D. Lévesque a écrit:
Je me demande même si le fait que ce projet est controversé et que personne du nouveau CA est propriétaire de la licence ne leur nuira pas de leurs démarches. Je crois que tout le battage dans les journaux hebdos vont leur nuire pour négocier l’endroit de l’antenne avec la ville par exemple.

Le site que nous avions convoité a été refuser par la Ville car selon eux ca brisait le paysage. Viarge…(désoler) ya 5 antennes de même type dans le même secteur.
Y’a peut-être justement déjà trop d’antennes dans le même secteur.


Francis-D. Lévesque a écrit:
Il va falloir avoir des appuis politiques solides sinon le bateau va définitivement sombrer.

J’ai déja reçu des appuis politiques solide dans ce dossier (Prov-Fédéral) et cela n’a pas changer rien du tout.
Pas d’appuis politiques solides = moins grandes chances d’obtenir une licence du CRTC. Ces appuis vous ont aidé pour obtenir la licence et franchir les premières portes dans vos démarches d’établir la station. Vous les avez gaspillés ces appuis avec vos gaffes.

Pour faire oublier tout ça et obtenir la confiance des administrateurs de la Ville de Lévis et des gens qui pourraient potentiellement vouloir s’associer à ce projet de radio, ça va prendre des appuis solides du monde municipal, fédéral, provincial et des affaires.

Carl Fiset a écrit:Je crois qu’au bout du compte que les deux parties devront s’entendre sur un arrangement qui les satisfera. Mais pas un arrangement qui va faire en sorte que Lévesque fera encore partie des meubles. Un projet qui se verrait associé à Lévesque de près ou de loin va rencontrer de nombreux embûches. Lévesque a brûlé le projet avec appelons ça une historique de gaffes plus meutrières les unes que les autres pour CJMD. Il n’y aura plus grand monde qui voudra s’associer dans un projet avec Lévesque derrière.

Francis-D. Lévesque a écrit:
Non je suis pas d’accord avec toi la dessus.

Au contraire. Si tu connaitrait ceux qui sont la a essayer de mettre la main. Tu comprendra pte pourquoi il n’ont pas rester longtemps a CJMD pour certain. Et d’autre malheuresment trop longtemps. ce qui a donner plusieurs casse-tete que personne parle présentement.

Oui nous avons fait des erreurs. Mais la pire a été de faire confiance a certain Garlots. (Ils se reconnaitront pte)

Carl Fiset a écrit :

Tout compte fait, je crois personnellement le projet de relance de CJMD est mort dans l’oeuf.

Le nouveau CA va devoir se battre avec une notion de légalité de la manoeuvre de destitution de l’ancien président et de la création du nouveau CA. Il va devoir également regagner la confiance des élus, des administrateurs et de la population de Lévis pour remettre le projet en marche, avec en arrière-plan le détenteur de la licence Francis-D. Lévesque avec qui plusieurs personnes se sont cassés les dents et dont il peut décider à tout moment de remettre la licence au CRTC, c’est lui-même qui l’a mentionné à la journaliste du Journal Le Peuple.

De son côté, Lévesque n’a tout simplement plus de crédibilité et de cartes à jouer pour relancer le projet.

Le battage publicitaire dans les hebdos locaux va accentuer l’imprression d’amateurisme réel ou non dans le projet de relance. Et enfin le temps manque pour relancer le projet avec toutes les embûches à rencontrer.

Assemblée générale du 31 mars 2011

Toutes les personnes intéressées par le projet de radio communautaire à Lévis sont invitées à participer à l’assemblée générale annuelle de l’organisme le 31 mars 2011 à 19h00 au Centre Raymond Blais (6, rue Olympique, Lévis). Toutes les interventions sont les bienvenues soit à titre d’observateurs ou de membres (des cartes de membres seront disponibles sur place au coût de 5.00$).

Au programme, mise en candidature et élection des membres du Conseil d’administration 2011, bilan et relance du projet. Les intéressés peuvent s’informer au sujet de la radio communautaire de Lévis en visitant le site Internet suivant : http://cjmdfm.wordpress.com/.

Informations : 418-903-1911

Source : http://cjmdfm.wordpress.com/assemblee-generale-du-31-mars-201

Carl Fiset a écrit :

Steeve Lapointe se retire…

Source : https://www.facebook.com/?ref=hp#!/pages/CJMD-969-FM-Levis/121111341267724

Il ne reste que Brigitte Nantel…

Francis-D. Lévesque devient de plus en plus seul…

Saguay a écrit :

Bonjour à tous,

Il me fait plaisir de confirmer officiellement sur ce site la relance de la Radio communautaire de Lévis.

Je constate que ce projet suscite quelques interventions dans ce forum depuis plusieurs mois. Permettez-moi de vous inviter à éviter les commentaires négatifs au sujet de l’ancienne administration même si le passé de la station nous en fournit l’occasion à maintes reprises. Bref, il faut tourner la page et se concentrer sur l’avenir.

Un autre petit détail avant d’entrer dans le vif du sujet, l’usage de l’ancien logotype de la station n’est plus de mise. Il a été abandonné par la nouvelle administration. Nous présenterons bientôt notre nouvelle identification visuelle. D’ici là, nous nous servons de l’image de mon avatar dans nos communications publiques.



LA RELANCE «ADMINISTRATIVE»

Dans un premier temps, nous nous devons de procéder à la relance administrative de la Radio communautaire de Lévis, la corporation étant inactive depuis plusieurs mois.

Les premiers intéressés se sont donc rassemblés le 19 janvier dernier pour constituer un nouveau conseil d’administration. Malheureusement, monsieur Francis D. Lévesque et madame Brigitte Nantel ne se sont pas présentés à cette réunion malgré une invitation et un avis de destitution formels, conforment aux règlements généraux de la corporation.

La proposition de destitution de monsieur Lévesque a été adopté à l’unanimité par la nouvelle équipe, et ce, sous un seul et unique point : le défaut de paiement du loyer du local de la station. Toutes les autres raisons qu’il était alors possible d’évoquer ont volontairement été passé sous silence parce que notre but n’est pas de critiquer à tous vents l’ancien président et fondateur de la Radio communautaire de Lévis. D’ailleurs, la nouvelle administration a rendu un hommage mérité à monsieur Lévesque lors de cette réunion pour l’obtention de la licence du CRTC.

La nouvelle administration a décidé de jouer de prudence au sujet de sa légitimité en suivant le processus établi dans les règlements généraux de la corporation.

Ainsi, les membres de notre nouvelle administration se soumettront aux votes des membres lors de l’assemblée générale annuelle qui aura lieu le 31 mars 2011 à 19h.30 à Lévis. Cette assemblée générale est ouverte à tous, observateurs et membres. On comprendra que seuls les membres pourront participer à l’élection du conseil d’administration et aux votes des différentes propositions. Des cartes de membres seront en vente au coût de 5.00$ à l’entrée de cette assemblée générale.

C’est aussi dans ce contexte qu’une campagne de recrutement des membres sera lancés officiellement le 8 février 2011 lors d’une conférence de presse.

À VENIR

– La relance technique
– La relance communautaire




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Serge-André Guay, président
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Courriel : radiocommunautairedelevis@videotron.ca
Site Internet : http://cjmdfm.wordpress.com/

Monsieur Fiset,

Vous pouvez consulter les règlements généraux de la Radio communautaire de Lévis en ligne sur le site Internet temporaire de la corporation : http://cjmdfm.wordpress.com/about/

Nous savons fort bien que «les administrateurs ne sont pas, dans le cas d’une radio communautaire, propriétaires de la station, ni de la corporation, ni de la licence qui s’y rattache» et il en va de même pour tous les organismes sans but lucratif incorporés selon la troisième partie de la Loi des compagnies du gouvernement du Québec.

Si l’aspect légal de la nouvelle administration revêt une importance capitale, il ne faut surtout pas oublier l’aspect éthique qui nous oblige au respect des faits et des personnes.

La mention des mérites du fondateur de la Radio communautaire de Lévis ne vise pas à duper les gens mais à faire amende honorable dans le contexte historique particulier des médias lévisiens.

Le projet de radio communautaire à Lévis était dans l’air depuis plus de trente ans au moment où monsieur Lévesque prend la relève de l’idée. Il fut le seul à présenter un projet au CRTC et à en obtenir une licence. Certes, la suite des choses fut très difficile et les erreurs nombreuses. Mais je ne suis pas du genre à manquer de respect face à un fondateur sur la base de ses erreurs, de son comportement et de ses attitudes.

J’ai commencé à faire de la radio à l’âge de 15 ans à CFLS et, trois ans plus tard, je travaillais à la radio de Radio-Canada à Québec. J’ai aussi été en ondes à CKRL. J’ai été pigiste et chroniqueur pour plusieurs médias écrits et rédacteur en chef d’une revue d’affaires. En plus de 30 ans de carrière en communication et en marketing, j’en ai vues des vertes et des pas mûres. Il est facile de dénoncer les erreurs des uns et des autres mais bâtir soi même quelque chose, c’est une toute autre affaire, surtout de nos jours car les démolisseurs semblent se multiplier plus que jamais.

Il est vrai que si monsieur Lévesque n’avait rien fait, comme plusieurs, personne ne parlerait de lui. Il a bougé, il est tombé et certains l’ont regardé, comme vous le dites, avec un sourire en coin. Dommage.



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Carl Fiset a écrit :

« Nous savons fort bien que «les administrateurs ne sont pas, dans le cas d’une radio communautaire, propriétaires de la station, ni de la corporation, ni de la licence qui s’y rattache» et il en va de même pour tous les organismes sans but lucratif incorporés selon la troisième partie de la Loi des compagnies du gouvernement du Québec. »


Le message ne s’adressait pas à vous ou aux gens de la relance. J’étais sûr que vous étiez au fait de tout cela.

« La mention des mérites du fondateur de la Radio communautaire de Lévis ne vise pas à duper les gens mais à faire amende honorable dans le contexte historique particulier des médias lévisiens. »

Vous avez du métier. Je respecte ça. Je n’ai pas écrit que vous vouliez duper les gens. Mais si vous voulez créer une scissure avec les erreurs du passé dans ce projet de radio communautaire, évitez de ramener le nom de Francis-D. Lévesque dans vos communiqués, ne serait-ce que pour faire amende honorable. Primo, ramener continuellement le nom de Lévesque ne vous aidera pas dans votre projet de relance. Secundo, comme je vais déjà écrit plus haut, je m’intéresse au monde de la radio depuis fort longtemps. Nous avions posé des questions en 2006 moi et l’administrateur du forum Radio et Compagnie à Lévesque au sujet de son projet de radio communautaire. C’est encore disponible ici : http://radioetcompagnie.lolforum.net/t76-qui-est-francis-d-levesque C’est donc pour vous dire que je suis le dossier depuis longtemps. J’ai suivi l’évolution du dossier, l’implantation du site internet de la station, et celle de la dernière mouture. Il y a quelques mois, le site internet de la station avait été retiré. J’avais effacé le signet s’y rattachant. Mais un observateur me fait remarquer aujourd’hui que le site internet « de la station » administré par Lévesque a été réactivé et mis à jour au niveau des administrateurs, comme par un heureux hasard. De plus, il y a trois pages Facebook de la station administrées par deux entités différentes.

Pour quelqu’un qui voudrait vous encourager ou suivre l’évolution de la relance, quels sites ou pages Facebook sont les bonnes :


Ancienne administration : http://www.cjmdfm.net/

Groupe de la relance : http://cjmdfm.wordpress.com/

Pages Facebook

Groupe de la relance : https://www.facebook.com/pages/CJMD-969-FM-Levis/121111341267724

Ancienne administration : https://www.facebook.com/group.php?gid=232796656732

Ancienne administration : https://www.facebook.com/group.php?gid=232796656732#!/group.php?gid=51401512359&v=wall

Comme vous voyez, Lévesque ne lâche pas prise. C’est pas nécessaire de continuer à le remercier en plus. Ignorer quelqu’un ne veut pas dire pour moi manquer de respect dans les circonstances qui vous concernent.

« Il est vrai que si monsieur Lévesque n’avait rien fait, comme plusieurs, personne ne parlerait de lui. Il a bougé, il est tombé et certains l’ont regardé, comme vous le dites, avec un sourire en coin. Dommage. »

C’est pas dans mes habitudes de m’amuser des déboires de quelqu’un. Mais connaissant l’individu, je ne peux qu’être désolé d’avoir vu un projet saboté de la sorte. Mais ce qui est remarquable dans l’aventure CJMD et vous-même le soulignez, c’est que ce projet s’est articulé principalement autour d’une seule personne. Il me semble qu’il y avait d’autres personnes autour du projet. Une radio communautaire est au service de la population et est géré par les membres du CA et les membres de la station. Pas par un seul individu. Oui il faut au moins un leader, une personne qui parte la machine. Mais un administrateur ou ex qui aurait eu à cœur un projet de radio pour la communauté et non pour ses intérêts personnels ou son égo ne ferait pas des menaces de remettre une licence si ça marche pas à son goût. Dommage pour vous. Je comprends votre position mais je ne suis pas dans vos culottes donc je ne me sens pas obligé d’avoir du respect pour Francis-D. Lévesque, l’homme de radio.

Je vous souhaite la meilleure des chances dans votre projet de relance.

Bonjour monsieur Fiset,

À titre de président de la nouvelle administration de la Radio communautaire de Lévis, j’avoue que l’ancienne administration est devenue ce matin une épine au pied à extraire au plus tôt et avec tous les moyens à notre disposition.

Notre approche visait à offrir à l’ancienne administration une sortie honorable. Un courriel en ce sens a été adressé hier à l’ancienne administration. Résultat: pas de réponse.

La mise en ligne ce matin d’un site web par l’ancienne administration nous incite à sortir l’artillerie lourde. Un courriel a été envoyé à l’hébergeur de ce site pour en signifier l’illégalité. Et courriel a aussi été envoyé aux annonceurs pour les informer de la publicité de leurs services et leur demander d’acheminer à qui de droit une demande de retrait de cette publicité. La réception de notre demande a été positive. Un appel téléphonique a été logé à la Ville de Lévis pour usage illégale de leur identification visuelle dans le logo de la Radio communautaire de Lévis sur le site web de l’ancienne administration. Le responsable de la municipalité a déjà initié les démarches utiles.

Ce matin également, une lettre a été envoyé pour informer le CRTC de la prise en charge de la Radio communautaire de Lévis par une nouvelle administration dans le respect des engagements pris par l’ancienne administration.

Une demande a été adressé à une importante firme d’avocats pour la prise en charge de notre dossier face à l’ancienne administration.

Hier, nous avons communiqué avec un responsable du Registre des entreprises du Québec afin d’inscrire la nouvelle administration à la place de l’ancienne. Le tout devrait être fait au plus tard à la fin du mois de février prochain. Nous avons aussi appris que l’ancienne administration n’avait pas fait parvenir sa déclaration annuelle 2010 au Registraire des entreprises, ce que nous allons prendre en charge tout comme la paiement exigé.

Nous avons appris également que l’ancienne administration a fait une demande de changement au Registre reçue par le Registraire le 20 janvier et effectuée le 26 janvier deniers. Cette demande visait à supprimer du Registre les noms de Mathieu Gourgues et André Beaudoin, ce qui laisse uniquement deux administrateurs en liste au Registre.

Or, un conseil d’administration doit selon la loi être composé d’au moins trois membres. L’ancienne administration se place donc elle-même dans une position d’illégalité.

Et la journée ne fait que commencer…





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Serge-André Guay, président
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE – 27 JANVIER 2011
Radio communautaire de Lévis – CJMD FM 

Francis D. Lévesque, le président déchu de la radio communautaire de Lévis, s’enfonce dans l’illégalité

Usage illégal de l’identification visuelle de la Ville de Lévis, reproduction illégale d’un texte de la Société Radio-Canada, publicités non autorisées, défaut de paiement et absence de la déclaration annuelle au Registre des entreprises du Québec, vente de cartes de membres sur un site web non autorisé par la nouvelle administration. Francis D. Lévesque et Brigitte Nantel de l’ancienne administration de la Radio communautaire de Lévis s’enfoncent dans l’illégalité.

Hier, nous pensions encore que Francis D. Lévesque accepterait notre offre de se retirer dans l’honneur à titre de fondateur. Mais, ce matin, au lieu de faire amende honorable, il a mis en ligne un site web sous le nom de la Radio communautaire de Lévis qui force notre nouvelle administration à sortir l’artillerie lourde : interventions auprès du CRTC, du Registraire des entreprises du Québec, de la Ville de Lévis et des annonceurs du site web de l’ancienne administration et demande de prise en charge des aspects légaux du dossier à un important bureau d’avocats.
Isolé plus que jamais avec uniquement deux membres dans son clan, après le départ un peu plus tôt cette semaine de Steeve Lapointe, président de Artson Québec et de Radio Bellechasse, Francis D. Lévesque et Brigitte Nantel posent des gestes irréfléchis et illégaux voire désespérés qui nuisent profondément à la cause.
Quand on reproduit illégalement un texte de la Société Radio-Canada mot à mot, titre compris, en s’appropriant les droits d’auteur (« Amphithéâtre — Quebecor prêt à payer — Écrit par CJMD FM 96.9 »), on prouve hors de tout doute qu’on n’est pas homme à respecter la loi.

Il en va de même quand on utilise illégalement l’identification visuelle de la municipalité que l’on dit desservir. C’est pourquoi nous avons demandé à la Ville de Lévis de ne pas se contenter du simple retrait de son identification visuelle, mais d’entamer des poursuites judiciaires contre l’ancienne administration de la Radio communautaire de Lévis. Et par la même occasion, nous avons demandé à Madame la Mairesse de Lévis, Danielle Roy Marinelli, de reconnaître officiellement notre nouvelle administration à la suite de notre assemblée générale du 31 mars prochain afin de bien orienter la population dans ce dossier.
De plus, une lettre adressée aujourd’hui au CRTC présente la nouvelle administration de la Radio communautaire de Lévis et assure l’organisme fédéral du respect de tous les engagements pris par l’ancienne administration. Il en sera de même auprès d’Industrie Canada.

Nous avons informé également le Registraire des entreprises du Québec que notre nouvelle administration régulariserait la situation de la Radio communautaire; l’ancienne administration n’a pas effectué la déclaration annuelle 2010 et payé les frais exigés par le Registraire.

Enfin, nous demandons à la population et aux organismes communautaires de Lévis de faire preuve de solidarité avec notre nouvelle administration en cessant immédiatement d’alimenter en information le site web de l’ancienne administration.

P.S.: (28 janvier 2011 – 18h.00) Francis D. Lévesque a finalement retiré de son site web illégal la bannière de la Radio communautaire de Lévis avec l’identification visuelle de la Vile de Lévis. Une plainte avait été formulé par la nouvelle administration de la Radio communautaire de Lévis au service des communications et la Ville de Lévis et au Cabinet de la Mairesse.

– 30 –

Communiqué de presse illustré

Source :

Serge-André Guay, président
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Qui est légal?
Publié le 31 janvier 2011 12h03

La radio communautaire de Lévis, CJMD, a maintenant deux sites Internet de deux administrations différentes, de même que deux pages Facebook. Chacun des « présidents » assure que l’autre est dans l’illégalité. Lequel dit vrai?

Par Marie-Christine Patry
mc.patry@journaldelevis.com

Pour le fondateur de la radio communautaire de Lévis, Francis D. Lévesque, c’est toute la formation du « nouveau conseil d’administration »qui est illégale. Selon lui, une réunion spéciale comme celle qui a été réalisée pour former la nouvelle administration doit être convoquée par un membre en règle. Or, M. Lévesque soutient que CJMD ne compte à ce jour que deux membres à son c.a, soit lui-même et Brigitte Nantel et que ni lui ni Mme Nantel n’ont convoqué cette assemblée.

Selon lui, deux des membres du nouveau conseil d’administration, André Beaudoin et Mathieu Gourgues, étaient aussi membres de l’ancien c.a, mais avaient donné leur démission au cours de la dernière année. Il assure avoir en main la lettre de démission de M. Gourgues tandis que celle de M. Beaudoin aurait été envoyée directement aux locaux de CJMD alors qu’il n’avait plus accès aux boîtes postales de la station. Il lui aurait cependant confirmé sa démission par téléphone. « C’est illégal, c’est comme si demain n’importe qui décidait de former un nouveau c.a au Patro de Lévis, ça n’a pas de bon sens », affirme-t-il.

« Nous prenons cette situation très au sérieux et des accusations sont en cours d’être déposées aux individus de ce groupement », a poursuivi M. Lévesque.

Une tout autre version de la nouvelle administration

Pour le nouveau président, Serge-André Guay, c’est M. Lévesque qui s’enfonce dans l’illégalité. Selon lui, le fondateur fait un usage illégal de l’identification visuelle de la Ville de Lévis en plus de reproduire illégalement un texte de la Société Radio-Canada et de faire usage de publicités non autorisées. De plus, il signale le défaut de paiement et l’absence de la déclaration annuelle au Registre des entreprises du Québec.

« Hier (26 janvier), nous pensions encore que Francis D.Lévesque accepterait notre offre de se retirer dans l’honneur à titre de fondateur, indique M. Guay dans un communiqué. Mais, ce matin, au lieu de faire amende honorable, il a mis en ligne un site web sous le nom de Radio communautaire de Lévis qui force notre nouvelle administration à sortir l’artillerie lourde : interventions auprès du CRTC, du Registraire des entreprises du Québec, de la Ville de Lévis et des annonceurs du site web de l’ancienne administration et demande de prise en charge des aspects légaux du dossier à un important bureau d’avocats ». Selon lui, M. Lévesque et Mme Nantel posent des gestes irréfléchis et illégaux, voire désespérés qui nuisent profondément à la cause.

Source : http://icilevis.com/fr/accueil-lecture.aspx?sortcode=1&id_article=4453

Carl Fiset a écrit :

Je pense que pour publier un article plus complet, plus en profondeur que celui-ci, il manque au moins une troisième source, un avocat, un expert en communications pour tenter de faire le ménage dans tout ça ou du moins pour nous en apprendre davantage d’un point de vue légal. Ici, on laisse les lecteurs trancher sur la base des apparences et des témoignages des deux parties et je ne sais même pas ici si on n’a pas simplement rapporté en partie des trucs lus sur le web. Comme disait l’autre, source s.v.p.! Est-ce que la journaliste a communiqué avec vous M. Guay?

Saguay a écrit :

Bonjour monsieur Fiset,

La journaliste n’a pas communiqué avec moi pour écrire son article. Elle s’est fondée sur notre communiqué de presse intitulé «Francis D. Lévesque, président déchu de la Radio communautaire de Lévis, s’enfonce dans l’illégalité». Cependant, je viens de parler au téléphone avec la rédactrice en chef du JOURNAL DE LÉVIS suite à un courriel adressé de ma part à la journaliste auteur de l’article. Le titre de ce dernier a été changé pour «Débat autour de la Radio communautaire», ce qui m’apparaît satisfaisant pour l’instant.


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Serge-André Guay, président
Radio Communautaire de Lévis inc.
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Courriel : radiocommunautairedelevis@videotron.ca
Site Internet : http://cjmdfm.wordpress.com/

Carl Fiset a écrit :

En passant, on a enlevé aussi la question qui se retrouvait également dans le premier paragraphe.

De toute façon, je soupçonne une personne qui pourrait être véritablement à l’origine de cet article, quelqu’un qui « aurait pissé l’information à l’oreille » de la journaliste qui a pondu cet article, si je me fie à ce que j’ai vécu personnellement au cours des deux dernières semaines au sujet de CJMD. Je ne trouve pas normal qu’on ne recueille pas votre argumentation directement auprès de vous-même monsieur Guay et qu’on se base sur un communiqué de presse sans vous demander des précisions supplémentaires. Ce n’est pas très professionnel de la part de la journaliste en question.

Saguay a écrit :


Bonjour monsieur Fiset,

Je d’accord avec vous, un journaliste ne devrait jamais donner suite à communiqué de presse sans interviewer l’auteur de ce dernier. J’accepte une seule exception à cette règle: la reproduction intégrale du communiqué de presse.

J’ai commencé à faire du journalisme il y a plus de 30 ans dans les médias de la région de Québec. Et je constate aujourd’hui que plusieurs journalistes traitent de personnes et d’organisations dans leurs papiers sans même en informer les premiers intéressés. 

Comme vous le savez, je dirige une maison d’édition en ligne sur le web (manuscritdepot.com) et j’ai toute la misère du monde à convaincre les journaliste de m’informer de la parution de leurs articles après leurs entrevues avec moi. Par exemple, personne ne m’a informé de la parution d’un article traitant, entre autres, de notre maison d’édition dans le numéro d’hiver 2010 du magazine lettres québécoises, article auquel j’ai contribué en accordant une longue entrevue au journaliste.

Autre exemple, un mémoire de maîtrise dans laquelle se trouvait un chapitre entier consacré à notre maison d’édition est paru sans que nous en soyons informés. Comme peut-on écrire un chapitre entier à notre sujet sans jamais nous avoir contacté.

J’ai écris un article à ce sujet: cliquez ici

Évidemment, la règle de l’entrevue avec la source du communiqué de presse ne vise pas à contrôler l’information ou la liberté de la presse. Elle vise plutôt à offrir aux lecteurs une information complète sous différents angles compte tenu des questions posées et des réponses obtenues.Et c’est très important voire essentiel dans le cas d’un débat tel que celui qui oppose la nouvelle et l’ancienne administration de la radio communautaire de Lévis.

Nous pouvons aller beaucoup plus loi dans notre analyse à partir de l’ancien titre de cet article : «Qui est légal?» À cette question, la journaliste avait déjà la réponse dans son texte et plus précisément dans cet extrait: «(…) M. Lévesque soutient que CJMD ne compte à ce jour que deux membres à son c.a, soit lui-même et Brigitte Nantel (…)»

Bref, monsieur Lévesque soutient que son conseil d’administration se compose de deux membres. Or, la loi est très claire : il faut au moins trois membres pour constituer un conseil d’administration. Qui est légal? L’ancienne administration avec deux membres ou la nouvelle administration avec 8 membres ? Réponse : la nouvelle administration. On peut même dire que notre nouvelle administration est légale par défaut de l’ancienne administration qui se déclare elle-même illégale en annonçant ne compter que deux membres.

On se souviendra aussi de notre communiqué de presse annonçant le retrait de monsieur Steeve Lapointe de l’administration Lévesque, et ce, suite à notre demande. En fait, cette journée-là, mardi le 25 janvier 2011, nous avons émis deux communiqués de presse, le premier demandant le retrait de monsieur Lapointe et le second annonçant le retrait de ce dernier.

Le retrait de monsieur Lapointe posait immédiatement la question de la légitimité de l’ancienne admnistration Lévesque car elle se retrouvait avec un membre en moins pour un grand total de deux membres.

En effet, monsieur Lévesque avait affirmé que son équipe se composait de trois membres dans une entrevue au journal Peuple Lévis : «M. Lévesque ne l’entend pas de cette manière. Selon lui, la dernière résolution du conseil d’administration «légalement constitué» indique qu’il est composé de lui-même à titre de président, de Brigitte Nantel, administratrice et secrétaire-trésorière, et de Steeve Lapointe, administrateur.» (23 janvier 2011, Pierre Duquet, Peuple Lévis).

Notre demande adressée à monsieur Lapointe à l’effet qu’il se retire du dossier de la Radio communautaire de Lévis s’inscrit dans nos efforts de désarmement de l’ancienne administration, d’autant plus quelle tire à tous vents.

Souvent, dans ce genre de situation, il suffit d’attendre que l’ancienne administration commette une erreur fatale et place elle-même en situation d’illégalité. Et c’est exactement ce que monsieur Lévesque a fait en annonçant publiquement que son CA compte seulement deux personnes alors que la loi en exige trois.

Mais gaffe ne s’arrête pas là. Monsieur Lévesque a effectué une déclaration modificative au Registre des entreprises du Québec dans laquelle on ne retrouve pas plus de deux administrateurs (lui-même et Brigitte Nantel). Or, nous venons de voir qu’un conseil d’administration légal doit compter au moins trois personnes. Monsieur Lévesque persiste et signe dans l’illégalité de son administration jusque dans le Registre des entreprises du Québec. Il apporte ainsi à notre nouvelle administration une deuxième preuve de notre légitimité après ses déclarations publiques.

Parlons maintenant du véritable rôle de ce Registre des entreprises. Jamais je n’ai entendu autant de références à ce registre depuis mon implication dans la Radio communautaire de Lévis. C’est exceptionnel car jamais au cours de mes années à la direction d’organismes sans but lucratif, le registre des entreprises fut pris à partie comme preuve de ce ceci ou de cela.

Le registre des entreprises du Québec n’est pas un bureau de vote. Le Registraire inscrit à son registre les données fournies par les conseils d’administration des entreprises. La seule exigence du Registraire, c’est que la déclaration annuelle et les déclarations modificatives soient signées par une personne mandatée à cette fin par la corporation. Le Registraire n’enquête pas à savoir si les informations inscrites à chaque déclaration annuelle et à chaque déclaration modification (changement en cours d’année) sont justes légales. La signature d’un responsable fait foi de tout.

Dans le cas de notre nouvelle administration, nous avons adressé au Registraire la déclaration annuelle que monsieur Lévesque n’a pas faite en 2010 et une déclaration modificative listant les membres de notre CA. L’ancienne administration pourrait contester et le Registraire se pencher sur l’ancienne administration Lévesque.

Nous avons parlé de Steeve Lapointe, parlons maintenant de Brigitte Nantel. Une seule question se pose: Au moment où Brigitte Natel se joint à l’ancienne administration était-t-elle un failli non libéré ou libéré? Nous savons que madame Nantel a fait faillite (Registre des faillites du Canada) mais était-ce alors qu’elle faisait partie de l’ancienne administration. Car, selon les règlements généraux de la Radio communautaire de Lévis, point 4.6.2, un membre du conseil peut être suspendu ou exclu s’il «est failli non libéré». Il y a eu faute si lors de sa faillite, madame Nantel était inscrite au Registre des entreprises. C’est ce que nous saurons sous peu.

Abordons maintenant la question des devoirs du conseil d’administration de la Radio communautaire de Lévis ou, si vous préférez, le point 4.8 (DEVOIRS) de la section IV (CONSEIL D’ADMINISTRATION)des règlements généraux. En voici le texte complet :

4.8 DEVOIRS

Dans l’exercice de son mandat, le conseil doit entre autres :

a) Administrer les affaires de la Corporation; 

b) Surveiller l’exécution des décisions de l’assemblée générale; 

c) Former ou abolir les comités de fonctionnement permanents et les comités « ad hoc » selon les besoins exprimés par l’assemblée générale et les mandater; 

d) Coordonner les activités des comités permanents de fonctionnement et des comités « ad hoc », voir à la bonne marche de ces différents comités dans l’exécution de leurs mandats; 

e) Répartir entre ses membres les responsabilités des comités permanents et des comités « ad hoc », entériner, modifier ou refuser les plans d’action mis sur pied par les différents comités; 

f) Faire un rapport annuel d’activités à l’assemblée générale; 

g) Acheminer le programme d’activités pour recommandation à l’assemblée générale annuelle; 

h) Voir à l’administration du budget et à l’administration de l’autofinancement; 

i) Autoriser les emprunts pour la Corporation; 

j) Nommer parmi ses membres les officiers de la Corporation; 

k) Remplir toutes autres fonctions non prévues par le présent règlement, en conformité avec les buts de la Corporation; 

l) Engager les employés; 

m) Assurer la diffusion des activités et la promotion de la Corporation; 

n) Rendre compte de son administration à l’assemblée générale, par la production d’un bilan financier et d’un bilan des activités; 

o) Exclure et suspendre les membres selon l’article 2.4. (2.4 EXCLUSION ET SUSPENSION. Le conseil peut suspendre et/ou exclure un membre : a) S’il ne correspond plus aux critères du règlement: b) Si par des agissements ou des déclarations, nuit ou tente de nuire à la Corporation;»


Parlons ici uniquement des documents à produire inscrits dans les DEVOIRS du CONSEIL D’ADMINISTRATION.

Faire un rapport annuel d’activités à l’assemblée générale

[list=2][*]Acheminer le programme d’activités pour recommandation à l’assemblée générale annuelle[/list]
[list=3][*]Rendre compte de son administration à l’assemblée générale, par la production d’un bilan financier et d’un bilan des activités;[/list]

Tous ces documents sont manquants. Une administration qui ne remplit pas ses DEVOIRS nuit à la réputation de la corporation et ne correspond plus aux critères des règlements généraux.

Dans ce contexte, la question de la légitimité de la nouvelle administration ne se pose pas car elle prend la relève de l’ancienne administration par défaut de respect des lettres patentes et des règlements généraux.





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Serge-André Guay, président
Radio Communautaire de Lévis inc.
20 rue Duplessis, Lévis, Québec, Canada. G6V 2L1
Téléphone : 418-903-1911 Télécopieur : 418-903-1891
Courriel : radiocommunautairedelevis@videotron.ca
Site Internet : http://cjmdfm.wordpress.com/


Extrait d’un article publié dans le Journal de Lévis

CJMD aurait plagié

Françis D. Lévesque, acteur principal de la Radio communautaire de Lévis, était confiant, au jour de sa comparution devant le CRTC. « Je m’attends à repartir avec une antenne », a-t-il déclaré. La Radio communautaire de Lévis, qui a reçu l’appui des députés du grand Lévis, était-elle suffisamment prête à demander une antenne ? « On n’est jamais prêt pour ces grosses machines », croit M. Lévesque. Ce dernier a déposé au CRTC un plan d’affaire fortement inspiré sur celui de Radio Boréale, en Abitibi. Idem pour sa politique d’information, copiée mot à mot sur celle de CKIA 88.3 – Radio Basse-Ville. Les stations communautaires CKIA et CKRL 89,9 (Limoilou) ont d’ailleurs déposé un mémoire conjoint d’opposition au projet de Radio communautaire de Lévis. Elles remettent en question le sérieux du projet, en relevant dans la documentation présentée par le groupe de M. Lévesque, ce que les deux stations décrivent en 47 points comme étant des « méprises les plus importantes ».

Francis D. Lévesque ne peut cacher certains manquements. Ce dernier plaide qu’il est un « gars de terrain », plutôt qu’un bureaucrate. Si la demande devait lui être refusée, M. Lévesque entend poursuivre les activités de sa radio sur Internet, comme c’est le cas depuis quelques années. « Advienne que pourra, CJMD va rester », promet-il.

Source : Journal de Lévis, 4 juin 2009 via page Facebook CJMD

CJMD radio communautaire de Lévis- lettre ouverte
par Mathieu Côté, 12 février 2011, à 21:58

LETTRE OUVERTE

Pour diffusion immédiate



CJMD RADIO COMMUNAUTAIRE DE LÉVIS



TROP PEU, TROP TARD!



Lévis, le 12 février 2011 –Comme citoyen de Lévis, impliqué dans son milieu et passionné de radio, je me sens directement interpellé en regardant le débat entourant CJMD, la radio communautaire de Lévis.



D’abord, je tiens à lever mon chapeau au nouveau groupe de relance qui a démontré beaucoup de volonté et fait preuve d’une grande transparence depuis quelques semaines. À mon avis, il est évident qu’ils se sont embarqués dans un panier de crabes sans fond et que l’ancienne administration a beaucoup improvisé dans ce dossier.



Par contre, de là à donner mon appui officiel à ce nouveau groupe de relance en prenant une carte de membre et en finançant leur projet, il y a une marge. Je vais me garder une certaine liberté d’attente afin de voir la légalité de leur processus. Je préfère écouter la voie de la sagesse.



Les deux groupes, l’ancienne et la nouvelle administration, peuvent bien se lancer la balle dans les médias et essayer de faire avaler à la population qu’ils sont les vrais représentants de CJMD en convainquant certaines personnes-ressources dans la ville de Lévis pour les aider dans la relance mais, gardons en tête que nous ne savons toujours pas officiellement quel groupe est réellement dans la légalité. Et c’est ni à l’un, ni à l’autre de nous le dire. Selon moi, la lourde tâche revient aux instances juridiques de trancher.



En plus, malgré le fait que j‘admets que le nouveau groupe de relance soit bien préparé, je trouve qu’ils vivent sur un nuage en croyant qu’ils pourront tout rebâtir en l’espace de 6 mois. Cette station est tellement dans un état pitoyable, tant au niveau des finances qu’au niveau de la technique et de leur crédibilité qu’ à mon avis, l’enjeu n’en vaut pas la chandelle. Je n’ai pas envie que le 5$ de ma carte de membre et le financement que j’y mettrai servent à effacer les dettes du passé et financer une chicane juridique. J’aimerais plutôt financer un projet de radio communautaire. S’embarquer dans ce projet moralement et financièrement pour réparer les pots cassés de l’ancienne administration serait de la pure folie.



À mon avis, il serait plutôt souhaitable de laisser l’ancienne administration avec tout ses problèmes et de repartir en neuf sur de nouvelles bases. D’accord, il est vrai que cela engendre de longues années d’attentes, encore une licence de perdu, mais au moins, ce serait l’occasion de rassembler ses énergies pour trouver du financement et des appuis car le nouveau projet devrait être cette fois béton, crédible et rassembleur.



En donnant à Lévis l’accès à une licence d’une radio communautaire, le CRTC a admis que Lévis avait un véritable besoin. Les vraies questions reviennent donc au CRTC; Pourquoi ont-ils donné une licence à un projet qui avait un plan d’affaire copié, mot à mot, sur celui d’une station de radio d’Abitibi? Pourquoi ont-ils donné une licence à un projet qui n’avait même pas l’autorisation de la Ville pour poser une antenne? Si le CRTC n’avait pas accordé la licence à ce projet, la population ne se serait pas fait rouler dans la farine. Après réflexion, j’en déduit que le CRTC «en doit une» à la population Lévisienne qui paie avec leurs taxes et impôts l’organisme et les fonctionnaires qui y travaillent.



Le nouveau groupe de relance a aussi fait appel aux deux journaux régionaux pour prendre position en leur faveur. À mon avis, le «journal de Lévis» et le journal «le peuple de Lévis» devraient continuer à rendre la nouvelle de façon la plus juste possible en écrivant les arguments en toute connaissance des deux côtés de la médaille. Ils n’ont pas à prendre position, ce sont des journalistes…

Ce n’est certainement pas en les critiquant, en leur donnant des leçons de journalisme de façon arrogante et en dictant le message à passer à la population qu’un groupe réussira à recevoir l’appui de quelconques médias. Avant de convoquer la presse pour parler d’un futur programme de mobilisation des organismes du milieu et des jeunes dans la peut-être future station CJMD, le nouveau groupe aurait beaucoup d’autres choses à régler avant…..



Sérieusement, si j’étais à la tête d’un organisme communautaire, un entrepreneur ou un politicien, je refuserais de donner mon appui moral ou financier à quiconque, sans avoir vérifié la légalité de l’organisation. Nous assistons actuellement à une «guéguerre» médiatique et juridique car, l’ancienne administration ne lâchera jamais le morceau et j’ai peur que certaines personnes et organisations en paient le prix.





Pour cette licence, c’est, selon moi, trop peu, trop tard!



Mathieu Côté

À qui appartient la Radio communautaire de Lévis ?

La Radio communautaire de Lévis appartient à l’organisme sans but lucratif du même nom et la destiné de ce dernier est entre les mains de ses membres. Autrement dit, la Radio communautaire de Lévis n’est pas la propriété de Francis Daniel Lévesque, initiateur du projet. La précision s’impose parce que ce dernier semble agir comme le propriétaire de Radio communautaire de Lévis et laisse ainsi percevoir qu’il a droit de vie ou de mort sur cette station de radio.

En fait, la notion de « propriété » ne s’applique pas à un organisme sans but lucratif, y compris la Radio communautaire de Lévis.

Par exemple, les membres d’un organisme sans but lucratif ne peuvent pas vendre ce dernier et il en va de même des administrateurs de l’organisme. Même l’administrateur fondateur d’un organisme sans but lucratif ne peut vendre ce dernier.

Par conséquent et devant la loi, nous sommes en droit d’attendre des administrateurs d’un organisme sans but lucratif qu’ils se comportent, non pas comme des propriétaires, mais plutôt comme des mandataires élus démocratiquement par les membres de l’organisme lors de leur assemblée générale annuelle.

Dans le cas spécifique de la Radio communautaire de Lévis, elle a déjà été une propriété privée du temps où elle diffusait sur le Web. À cette époque la Radio communautaire de Lévis était la propriété privée de Francis Daniel Lévesque. Il s’agissait alors d’une initiative personnelle, et ce, même si dans le nom du projet se trouvait la dénomination « communautaire ».

En résumé, la Radio communautaire de Lévis était une initiative personnelle de Francis Daniel Lévesque, un projet privé que ce dernier voulait au service de la communauté.

Le 28 mai 2008, cette initiative personnelle ou ce projet privé est devenu officiellement un organisme sans but lucratif en vertu de la Partie III de Loi sur les compagnies du Québec (L.R.Q., chap. C-38, art. 218). En effet, c’est à cette date que furent émise les Lettres patentes (ou la charte d’incorporation) de la radio communautaire de Lévis par le Registraire des entreprises du Québec.

À cet instant même, Francis Daniel Lévesque perdait son titre de propriété privée sur la Radio communautaire de Lévis pour en devenir un simple administrateur, et ce, au même titre que les quatre autres signataires de la demande d’incorporation.

Le passage d’un projet privé et personnel à un organisme sans but lucratif dûment reconnu par les gouvernements revêt une importance capitale sur l’administration et la gestion de la radio communautaire de Lévis car la législation, y compris le Code civil du Québec, exige un comportement très précis de la part des administrateurs. Il en va de même des objets et des autres dispositions inscrits dans les Lettres patentes à la demande même des signataires de la demande d’incorporation. Et à cela s’ajoutent les directives aux administrateurs dans les règlements généraux de l’organisme sans but lucratif, également proposés par les requérants de l’incorporation.

L’organisme sans but lucratif qui se qualifie de « communautaire » a un devoir moral non seulement face à la communauté de ses membres mais aussi face à la communauté dans laquelle il évolue. Autrement dit, la portée de ses obligations et de ses engagements dépassent largement l’ensemble de ses membres pour embrasser toute la population de son territoire d’opération.

Dans ce contexte, un organisme sans but lucratif tel que la Radio communautaire de Lévis n’est pas un petit groupe d’individus au service des intérêts de ces derniers mais au service de toute la population de son territoire. Bref, la Radio communautaire de Lévis est redevable à ses membres et à toute la population.

Une radio communautaire est encore plus redevable à l’ensemble de la population de son territoire parce que la fréquence d’ondes pour émettre relève du bien commun (général, public), c’est-à-dire comme « ayant une dimension ou une finalité collective impliquant l’existence d’un enjeu supérieur à la somme des enjeux particuliers de nature sociale, morale, philosophique ou religieuse, en plus des implications économiques évidentes. » Les fréquences d’ondes relèvent du bien commun par opposition au bien privé, et ce, par exemple, au même titre que les infrastructures routières. C’est pourquoi il faut demander au gouvernement par l’entremise du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) la permission pour émettre sur une fréquence d’ondes et que ce dernier vous accorde, non pas la propriété de cette fréquence, mais une licence d’utilisation de cette fréquence.

Dans le cas d’une station de radio privée, la licence est accordée au propriétaire de la station. Et dans le cas d’un changement de propriétaire, le CRTC doit approuver le transfert de la licence. Car qui achète une station de radio privée, n’achète pas la licence de radiodiffusion émise par le CRTC. En toutes circonstances, la fréquence d’ondes relève du bien commun et l’autorisation de l’utiliser d’une licence émise par le CRTC.

Dans le cas d’une radio communautaire, la licence n’est pas accordée à une ou plusieurs personnes mais à l’organisme sans but lucratif lui-même. Le CRTC n’émet pas la licence de radiodiffusion aux noms des administrateurs de l’organisme sans but lucratif mais à l’entité elle-même à titre de personne morale.

Quand Francis Daniel Lévesque déclare à la presse « Il ne faut pas oublier que je suis détenteur de la licence et que dans le pire des cas, je pourrais la retourner au CRTC » (Francis D. Lévesque ne veut pas lâcher prise, Le Peuple Lévis, 23 janvier 2011), il commet une très grave erreur parce qu’il agit comme s’il était le propriétaire de la licence accordée par le CRTC à la Radio communautaire de Lévis.

La licence accordée par le CRTC appartient à l’organisme sans but lucratif « Radio communautaire de Lévis » et ce dernier n’appartient ni à Francis Daniel Lévesque, même s’il en est le fondateur, ni même à ses membres. La notion de propriété ne s’applique pas dans le cas d’un organisme sans but lucratif. Même les biens acquis par un organisme sans but lucratif n’appartiennent ni aux administrateurs ni aux membres mais à l’organisme lui-même. Et il en va de même dans le cas d’une licence de radiodiffusion obtenue par une radio communautaire sans but lucratif.

Il faut garder en mémoire que c’est au nom de la population que le CRTC donne la permission à une radio communautaire d’émettre sur une fréquence d’ondes donnée en accordant une licence de radiodiffusion car il s’agit de bien commun.

Dans notre société, le bien commun est géré par les gouvernements au profit de la population et non pas d’un individu ou d’un groupe d’individus.

Force est de conclure que la « Radio communautaire de Lévis » n’appartient à personne en particulier et qu’elle est redevable à l’ensemble de la population de Lévis, tout comme la licence de radiodiffusion demandée et obtenue du CRTC au nom de la population de Lévis.

Malheureusement, Francis Daniel Lévesque ne semble pas comprendre qu’il n’a absolument aucun droit de propriété sur la Radio communautaire de Lévis et sa licence de radiodiffusion.


Source : http://cjmdfm.wordpress.com/a-qui-appartient-la-radio-communautaire-de-levis/

Carl Fiset a écrit :

Personnellement, à moins qu’on travaille aussi fort à remettre sur pied la station qu’on en met pour dévoiler chaque détail à la minute près des mauvais coups de Lévesque, je ne crois plus à un lancement. Trop peu, trop tard. Il aurait fallu faire cette relance au moment où Gourgues songeait à démissionner en juillet dernier. Comme tu dis Jeff, l’image est importante pour se bâtir une crédibilité. Je veux bien croire qu’on se doit d’être transparent mais on n’est pas opportun dans la façon de le faire. C’est peut-être pas nécessaire de savoir à la minute près. On pourrait faire tout ce qu’ils font présentement comme procédures pour mettre ça réglo, récupérer le matériel et tout mais le dévoiler en moments opportuns, le faire par exemple en AG ou attendre le lancement de la station pour ne pas compromettre ce dernier. Là, on sort les cartes au fur et à mesure qu’on les a, ce qui fait réagir Lévesque instantanément. Peut-être juste pour nommer un exemple on aurait dû éviter dans l’immédiat de dévoiler les intentions et les procédures de la nouvelle équipe, de laisser les policiers faire leur travail et augmenter les chances que ces derniers fassent des perquisitions auprès de Lévesque pour récupérer le matériel au lieu de « forcer » Lévesque à vendre son stock sur Kiijjiji. Ce dernier s’est senti coincé dès le départ et a réagi sur le champ. Peut-être qu’au bout du compte, ça n’aurait rien changé mais on peut difficilement mettre de côté l’idée que la stratégie « indiscrète » de la nouvelle administration n’a pas eu un effet sur ce qui se passe présentement.

Message à Francis Daniel Lévesque de l’ancienne administration



Ferme ta gueule et décroche ! Il n’y a personne ici pour te prendre en pitié et pleurer sur ton sort.



Tu as mis le projet de la Radio communautaire de Lévis en péril uniquement à cause de ton attitude et de ton comportement envers les autres. Nous n’acceptons aucune de tes excuses, qu’elles soient personnelles, conjugales, familiales, financières voire même techniques. Tu as tué toute empathie de ma part.



Nous relançons la Radio communautaire de Lévis parce que tu en es incapable et, surtout, indigne en raison de tes manœuvres pour enjôler et manipuler les personnes intéressées. Pour relancer ce projet, il faut le support de la population et tu ne l’as pas.



Je suis le président de cette relance et tu ne m’auras pas. Je suis prêt à aller en prison pour ce projet ! Et tu n’auras pas non plus mon équipe, les organismes et la population de la Lévis.



Tu n’es pas le propriétaire de la Radio communautaire de Lévis. Tu n’es pas non plus le propriétaire de l’organisme sans but lucratif «Radio communautaire de Lévis». Mets toi ça dans la tête ou amène moi devant la justice. Je suis prêt !



Tu t’es destitué toi-même bien avant que notre administration le fasse. Tu n’as tenu aucune assemblée générale annuelle des membres. Tu n’as jamais été élu ! Tu n’as pas respecté les règlements généraux de la Radio communautaire de Lévis. Et tu veux me faire la leçon avec une mise en demeure ? Tu es mieux de te lever de bonne heure car je sais à l’avance quoi te répondre. Tu ne peux pas me surprendre ou me faire peur.



Souviens-toi quand je t’ai laissé un message sur ton répondeur pour demander de me rappeler au sujet de la Radio communautaire de Lévis il y a quelques mois. Souviens-toi que tu ne m’as jamais retourné mon appel. Tu t’attendais à quoi ? Que je regarde le train passé sur le corps de la Radio communautaire de Lévis sans dire un mot ?



Pourquoi tu n’es pas venu à la réunion du 19 janvier 2011 ? Et ne me dis pas que tu ne savais pas que cette réunion avait lieu. Tu le savais et tu as décidé de ne pas venir. Tu aurais pu y plaider ta cause mais tu ne l’as pas fait. Conséquence : tu as été destitué à l’unanimité.



Pourquoi tu m’as soudainement téléphoné cette semaine (24 février) ? Tu ne pensais tout de même pas que j’aillais te retourner ton appel quand toi-même tu ne m’as pas retourné le mien. M’as-tu téléphoné pour négocier ? Présentes toi à l’assemblée générale du 31 mars prochain, deviens membres et on jasera… devant tous les autres membres !



Et pourquoi tu as aussi téléphoné ce jour-là à Mathieu Gourgues ? Pour lui dire que tu avais en main l’argent pour rembourser les prêts qu’il a fait à ton administration ? Non. Tu as bavassé sur un autre administrateur. Tout ce que tu peux dire au sujet des administrateurs de mon équipe, je le sais déjà et en détails. Et tu as annoncé une mise en demeure pour l’assemblée générale. Tu penses nous faire peur. Mais tu te prends pour qui ? Tu n’es plus président et tu n’est même pas membre. Au fait, as-tu déjà payé une carte de membre de la Radio communautaire de Lévis et, surtout, en as-tu la preuve ?



De mon côté, des preuves de ta mauvaise gestion, j’en ai à ne plus savoir quoi en faire et je te rappelle qu’il n’y a pas d’excuses admissibles.



En passant, qu’est-ce que tu vas faire de l’argent que tu sollicites sur ton site Internet, si jamais il y a encore des gens qui t’achètent de la publicité ou des cartes de membres ? Vas-tu déposer cet argent dans un compte bancaire au nom de la Radio communautaire de Lévis ? N’oublie pas que pour ouvrir un compte bancaire au nom de la radio communautaire de Lévis, il faut présenter les Lettres patentes de l’organisme. As-tu ça en main ? Ne les avait tu pas confiées à quelqu’un en signe d’une place importante dans l’organisation ?



Solliciter de l’argent au nom de la Radio communautaire de Lévis sur ton site Internet… ? Tu penses vraiment que c’est légitime, légal, moral et responsable de ta part dans le contexte actuel ?



Je ne sais pas qui t’a mis dans la tête que la Radio communautaire de Lévis t’appartenait mais c’est un con.



Elle appartient à la population de Lévis pas à toi ! Sais-tu pourquoi il faut une licence du CRTC ? Parce que les ondes sont un bien public. «P-U-B-L-I-C», ça ne te dit rien ?



Je sais, tu ne comprendras jamais mais, rassures-toi, moi, j’ai compris, mon équipe a compris et la population aussi.



Serge-André Guay



P.S.: Ce texte n’engage que son auteur.


CJMD 96.9 FM Lévis Cette guerre, comme vous dites, est très sérieuse. On parle de milliers de dollars et de vie détruites. Serge-André Guay.
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CJMD 96.9 FM Lévis Il faut être un blessé de cette guerre pour comprendre que ce n’est pas un jeu d’enfants. Serge-André Guay
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CJMD 96.9 FM Lévis Et on ne tire pas sur un enfant. Serge-André Guay
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CJMD 96.9 FM Lévis Mais sur un tireur embusqué. Serge-André Guay
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CJMD 96.9 FM Lévis Je ne sais pas où est passé le commentaire que je commentais mais son auteur écrivait que cette guerre était enfantine.
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CJMD 96.9 FM Lévis C’est l’auteur du commentaire qui parlait de «guerre», pas moi. Serge-André Guay
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CJMD 96.9 FM Lévis L’auteur du commentaire est Yannick Bourque. (« Cette guerre, c’est n’importe quoi!! Arrêter de jouer aux enfants… mon dieu!! ») MG
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Simon Robitaille Je me permet d’écrire, qu’effectivement, c’est vraiment du règlement de compte et même si l’ancien propriétaire a fait les pires erreurs, ça ne regarde personne d’autres que vous mêmes et vous n’avez pas à publier de telles choses publiquement. Je trouve ça dégueulasse de votre part et ça enlève TOUTE mais vraiment TOUTE crédibilité et TOUT professionnalisme à votre radio.
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CJMD 96.9 FM Lévis Je ne sais pas sur quoi vous basez la crédibilité mais je réfute catégoriquement la culture du secret au profit d’une politique de transparence exemplaire. Les erreurs de l’ancienne administration concerne toute la population de Lévis car tout projet de radio communautaire est par définition de nature publique. Ce qui est vraiment dégueulasse, ce sont les fournisseurs floués à coup de milliers de dollars, les bénévoles manipulés par des promesses non tenues,…

L’ingénieur Jean Fréchette nous confirme que Francis Daniel Lévesque n’a jamais payé la facture du devis technique au montant de 3,386.35$, datée du 23 décembre 2008, réalisé pour la Radio communautaire de Lévis. Monsieur Fréchette rappelle à chaque mois à Francis Daniel Lévesque sa dette par courriel : http://manuscritdepot.com/cjmdfm/Facture_no_1274-CJMD.PDF

Pourquoi s’attaquer à l’ancienne administration de Francis Daniel Lévesque ?
par CJMD 96.9 FM Lévis, 26 février 2011, à 12:56

Voici un principe scientifique bien connu : la connaissance se bâtit sur la destruction du déjà su. En science, une nouvelle connaissance vient toujours en remettre en question sa version précédente, moins fiable. C’est ainsi que la connaissance sur un sujet donnée devient de plus en plus fiable ou certaine au fil des découvertes.



Il en va de même de la relance de la Radio communautaire de Lévis. Elle se bâtit sur la destruction du déjà su ou, si vous préférez, sur la destruction (dénonciation) de son passé sous l’ancienne administration. C’est une étape incontournable, difficile, désagréable et qui demande beaucoup de courage aux personnes impliquées. Mais on ne peut pas sauter cette étape cruciale. Il faut tout savoir et tout dénoncer au sujet de l’ancienne administration si on veut que la relance du projet se fasse en pleine connaissance de cause. Ainsi et uniquement ainsi, on évitera que des inconnus nous sautent au visage au cours de la relance, après l’assemblée générale du 31 mars prochain à 19h00 au Centre Raymond Blais (6, rue Olympique, Lévis).



http://cjmdfm.wordpress.com/assemblee-generale-du-31-mars-2011/



Sachez que nous ne prenons aucun plaisir dans cette dénonciation en règle. Il n’y a rien de drôle lorsque nous découvrons une dette de plus de 13,400.00$ pour non paiement du loyer de la Radio communautaire, ou lorsque nous apprenons que l’ingénieur qui a préparé le devis technique n’a pas été payé pour son travail, ou encore lorsque nous apprenons que des prêts totalisant plus de 15,000.00$ ne furent pas remboursés,..



Nous ne nous délectons pas du fruit de nos fouilles dans le passé de la Radio communautaire de Lévis. Au contraire, chaque découverte attaque le moral des troupes. Heureusement, nous avons du courage à revendre. Et nous savons qu’il est de notre devoir d’être capables de répondre aux questions au sujet de l’échec de l’ancienne administration. Car des questions, il nous en sera posées et sans doute en grand nombre.



On nous demandera, par exemple, comment nous éviterons de répéter les erreurs de l’ancienne administration et, surtout, quelle garantie nous offrons. On ne peut pas éviter les erreurs que l’on ne connaît pas. Il faut donc les relever, les étudier et les dénoncer pour permettre à chacun de comprendre ce qui se passe lorsque nous répondrons à la population.



Nous ne sommes pas animés par un esprit de vengeance mais par le devoir de vérité qui nous incombe en tant qu’administrateurs responsables.



C’est bien connu, les Québécois n’aiment pas la chicane. Nous préférons tous la bonne entente. Mais nous savons que nous ne pouvons pas éviter toutes les chicanes. Il vient un temps où la vérité doit sortir, où les erreurs doivent être dénoncées, où les comportements doivent être révélés au grand jour. Car nous savons que l’expérience n’est rien d’autre que la somme des erreurs à la condition expresse de les comprendre pour les corriger. Autrement, les mêmes erreurs se répètent inlassablement sans même être identifiées comme des erreurs.



Nous nous sommes donnés jusqu’à l’assemblée générale du 31 mars prochain pour passer en revue le passé de la Radio communautaire de Lévis sous l’administration de Francis Daniel Lévesque.



D’ici là, je vous invite donc à la patience et à la tolérance face à nos dénonciations et à l’ambiance lourde qui en découle. Ça va passer et l’imagination créative va bientôt reprendre le pouvoir dans la joie et l’excitation la plus constructive qui soit.



Si vous avez besoin d’une pause, d’un encouragement, d’un remontant, je vous invite à lire ces articles :



http://manuscritdepot.com/a.serge-andre-guay.4.htm



http://manuscritdepot.com/a.serge-andre-guay.4.2.htm



Serge-André Guay

Sources : https://www.facebook.com/pages/CJMD-969-FM-L%C3%A9vis/121111341267724

Carl Fiset a écrit :

Bataille juridique autour d’une radio communautaire


Mikaël Lalancette
Le Soleil

(Québec) Une partie de bras de fer juridique s’engage entre l’ancien et l’actuel président du conseil d’administration de la radio communautaire de Lévis CJMD. La division est profonde entre d’anciens et d’actuels gestionnaires de la station, qui ne diffuse plus depuis janvier 2010.

Le président provisoire de la station, Serge-André Guay, accuse son prédécesseur, Francis Daniel Lévesque, de détournement de fonds. Dans un communiqué publié hier, M. Guay mettait en garde la population en soutenant que M. Lévesque mène une «fausse levée de fonds» sur le site Internet de la station, toujours géré par ce dernier.

La boutique accessible sur Internet CJMDFM.net offre toujours aux gens des cartes de membre à 5 $, 10 $ et 15 $, même si son gestionnaire n’a plus accès aux comptes de la station de radio.

Joint par Le Soleil, Francis Daniel Lévesque s’estimait toujours président de la radio. «Ce qu’ils ont fait pour me destituer, c’est une procédure illégale. Ils mènent une campagne de salissage et je les laisse s’amuser», a-t-il réagi. M. Lévesque songe à poursuivre les nouveaux administrateurs pour atteinte à sa réputation.

En janvier, le nouveau conseil d’administration a destitué M. Lévesque pour «ne pas avoir payé le loyer de la station de 13 400 $ et donné mauvaise réputation à l’organisation de la radio communautaire de Lévis».

M. Guay soutient aussi qu’un des membres du C. A. a été floué de 25 000 $.

Soutenant avoir été destitué illégalement, M. Lévesque allègue que les nouveaux gestionnaires tentent de le «déstabiliser mentalement, physiquement et administrativement».

«Quand des gens m’ont prêté de l’argent, c’était d’un commun accord. Compte tenu de la situation [mise hors d’ondes de la station], on ne pouvait pas respecter les ententes», s’est défendu M. Lévesque, qui chiffre à 63 000 $ la somme qu’il a investie dans l’aventure.

Les membres du conseil d’administration n’avaient pas, selon lui, le pouvoir de convoquer une rencontre pour le destituer car ils avaient rendu leur démission auparavant. Faux, répliquent ces derniers. «Il [Francis D. Lévesque] ne donnait plus de nouvelles. La station était morte. Même le Registre des entreprises considérait l’entreprise fermée en juillet 2010», plaide M. Guay. «On a pris la relève.»

Pour relancer la radio, M. Guay a constitué un nouveau conseil d’administration, qui sera soumis au vote des membres en assemblée générale le 31 mars prochain.

Le combat que mène le nouveau président et son groupe n’a qu’un seul objectif : préserver la licence délivrée par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).

«On se bat pour la licence. Une station de radio communautaire pour la ville de Lévis, on la veut depuis 30 ans. Si on perd celle-là, notre chien est mort. On ne veut pas repartir à zéro», explique le principal intéressé.

En janvier 2010, Industrie Canada a retiré le permis d’émission à CJMD Lévis, jugeant ses équipements non conformes. Si la station ne redémarre pas d’ici septembre, elle perdra sa licence.


Source : http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/201102/27/01-4374479-bataille-juridique-autour-dune-radio-communautaire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_la-capitale_577_section_POS4

Audio : La Zone à Radio-Canada : http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/medianet/2011/cbv/bulletinregionalcbv201102280730.asx&promo=ZAPmedia_Telejournal&duree=court

Radioego : http://www.radioego.com/ego/listen/7069

Le communiqué officiel de la station datant d’aujourd’hui : http://manuscritdepot.com/cjmdfm/cp-rcl.10.pdf

Enfin, on nous annonce aujourd’hui sur la page Facebook de CJMD qu’il y aura un reportage sur le détournement de fonds au Téléjournal Québec de Radio-Canada.

La gang de Serge-André Guay ont eu une grosse journée aujourd’hui…


Ma réaction à tout ce bouhaha avec les réactions de Serge-André Guay :

Plus haut, le 3 mars plus précisément, je dénonçais l’attitude de prima donna de Serge-André Guay, le président provisoire de CJMD Lévis, qui s’adonnait à une forme de chantage envers les médias locaux parce que ces derniers ne prenaient pas position positivement pour le projet de relance de la station et qui, par ailleurs, avait fait la menace de démissionner du projet.

Si je peux saluer son courage, son sens des responsabilités d’honorer les dettes de l’ancienne administration et la volonté de remettre sur les rails la station de Lévis, je me questionne sérieusement sur l’individu lui-même et sur ses compétences dans le domaine des médias. Je m’explique.

Le principal reproche que j’ai à faire envers la nouvelle administration a été de mal gérer la crise et de s’être servi des médias et de leurs sites internet pour régler des comptes personnels avec Francis D. Lévesque. L’idée principale dans le cas d’un tel projet de relance est de porter à terme ce projet pour qu’il fonctionne. L’équipe de Serge-André Guay a cultivé l’art de se tirer dans le pied avec toutes ces dénonciations faites publiquement depuis début février alors qu’elle a pris les rennes du projet de retour de la station. Un vrai « loose cannon » quoi. Je m’explique mal le principe noble certes de la transparence totale à vouloir dénoncer les mauvais agissements de Francis D. Lévesque n’importe quand au fur et à mesure qu’on a l’information lorsqu’on est impliqué directement dans le projet. Lévesque a réagi envers la nouvelle administration à chaque fois qu’on y allait de dénonciations qui allait à l’encontre de ses projets. Et cela a engendré une guerre médiatique et entre les deux administrations, l’ancienne tenue par Lévesque et la nouvelle. Ce ne sont pas les médias qui sont responsables de cette guéguerre. C’est l’équipe de Guay qui en est seule responsable. On aurait pu choisir de se taire jusqu’à ce que le projet prenne son envol tout en se contentant d’ici de faire les démarches nécessaires, de contacter les personnes ou organismes lésés par les récents agissements. Si on tenait vraiement à ce que Lévesque soit dénoncé publiquement, on aurait peut dénoncer dans certains médias de façon anonyme dans le genre  » selon une source fiable « . Vous connaissez le principe. Comme ça, on ne porte pas l’odieux du blâme et on n’attire pas les contre-attaques de l’ancienne administration. Il me semble que c’est un truc bien connu. J’en ai fait couler de l’information de manière anonyme à l’occasion. Mais si on trouve ça trop hypocrite du côté de la nouvelle administration, il vaut mieux alors se taire momentanément, attendre que tous les problèmes soient définitivement résolus et faire des annonces en moments opportuns.

Mais du côté de Guay et son équipe, on a choisi la pire solution, de sortir des communiqués de presse, de faire des sorties publiques sur leurs sites internet, de bavasser dans les journaux locaux, dans le but de faire la dénonciation du jour concernant les mauvais agissements passés et actuels de Lévesque. Pourquoi donc ces individus se sentaient obligés de tout dire tout de suite, d’obéir officiellement au sacro-saint principe de la transparence? Pour bouder ensuite les médias locaux qui ne prennent pas position en leur faveur? À moins qu’on ne parle que de l’individu qui est président et porte-parole du groupe de la nouvelle relance? Est-ce que c’est parce que Guay a un gros égo et veut s’attribuer tout le mérite des dénonciations, qu’il veut bien paraître dans cette histoire?

Je crois que Guay est un type qui a une grosse estime de lui-même, obsédé par son image, qu’il veut bien paraître et qu’il ne veut être en aucun cas sali par les agissements passés et actuels de l’ancienne administration. Cela a évidement du bon mais aussi du mauvais. Tout est une question d’équilibre.

Lorsqu’il prit les commandes avec son équipe à la fin janvier – début février pour relancer CJMD, je me souviens qu’il ne manquait aucune occasion publique et dans ses communiqués de vanter Francis D. Lévesque d’avoir obtenu la licence, tellement que ça en devenait presque agaçant à la longue. Il voulait être trop bon joueur et paraître pour le gentil garçon. Lorsqu’il a découvert les conneries de Lévesque, il s’est mis tellement à le dénoncer dans le but évident de le faire mal paraître (Lévesque) et de passer pour le bon garçon, que bien des gens comme moi qui étions derrière la nouvelle administration ont déchanté. C’en était rendu une guerre personnelle entre deux individus.

Je me dis que si j’étais dirigeant d’un organisme communautaire et un acheteur potentiel de pub radio et que je regarde ce qui se passe dans le dossier de CJMD, je ne serais pas tenté d’encourager le projet pour deux raisons. D’abord, quelle administration est légale. Avec cette guerre ouverte entre les deux administrations, on peut avoir de la difficulté à se retrouver à savoir qui dit vrai, qui est légal. Au lieu d’avoir éclairci la situation, cette dénonciation abusive et la guéguerre qui s’en est suivi a embrouillé les cartes. Ensuite, en supposant que la nouvelle administration est la bonne, je regarde les agissements publics de celle-ci et en particulier de son président par interim, Serge-André Guay, et je ne suis pas sûr de vouloir m’associer à des gens qui veulent travailler dans un média et qui ne sont pas capable de gérer efficacement une crise par l’entremise des médias. Ça me laisserait perplexe en tout cas.


Réponse à Carl Fiset
par CJMD 96.9 FM Lévis, 11 mars 2011, à 17:04

Réponse à Carl Fiset – Le rôle des médias est d’informer ADÉQUATEMENT la population. Les médias ne sont pas de simples courroies de transmission de l’information. Il faut procéder à une cueillette complète de l’information se rapportant au fait, vérifier l’information trouvée et traiter cette information. Dans le cas spécifique de la Radio communautaire de Lévis, les journalistes des journaux locaux se sont contentés plus souvent qu’autrement de rapporter les propos des instigateurs du projet sans se donner la peine de les vérifier. C’est ainsi que l’ancienne administration a eu la voie libre. «Nous avons beaucoup investi dans ce projet» disent les journaux locaux (Peuple Lévis et Le journal de Lévis) sur la base de l’espace accorder au sujet dans leurs pages. Et c’est très souvent ainsi que les journaux locaux perçoivent leur rôle : accorder ou non de l’espace à un sujet, donner ou non une voie à telle ou telle personne.



Malheureusement, c’est l’étape de la vérification de l’information qui souffre le plus souvent de ce rôle limité. Les journaux locaux lévisiens ont compté davantage sur la bonne foi de l’ancienne administration de la Radio communautaire de Lévis que sur la vérification des faits.



Or, qu’arrive-t-il dans le cas où la personne ressource des journalistes est en train de les berner en cachant des faits essentiels ? Rien, puisqu’il n’y a pas de vérification de l’information. C’est ainsi que les journaux locaux lévisiens ne se sont pas rendus compte que l’administration de la Radio communautaire de Lévis n’a tenue aucune assemblée générale, pas même une assemblée générale de fondation, depuis son incorporation en 2008. C’est ainsi également qu’ils ne se sont pas rendus compte que la Radio communautaire de Lévis n’avait aucun membre. Et c’est encore ainsi qu’ils ne se sont pas rendus compte de l’absence d’états financiers. Dans ce contexte, nos journaux locaux n’ont pas joué leur rôle de chien de garde en proposant à la population uniquement l’information officielle de l’ancienne administration de la Radio communautaire de Lévis. Pour la population, les journaux locaux cautionnaient l’ancienne administration. Et cette dernière n’a pas hésité une seconde à joindre à sa demande de licence au CRTC les articles parus dans les journaux locaux.



Puis voilà que l’ancienne administration se voit forcée de fermer son émetteur par Industrie Canada en janvier 2010, moins d’un mois après sa mise en ondes. L’information est de première importance mais le Peuple Lévis attendra un mois pour la rapporter à la population. Pour sa part, Le journal de Lévis laissera la population ignorante du fait pendant deux mois. Habituellement pressés de rapporter les propos de l’ancienne administration dans leur prochaine édition, les journaux locaux se taisent soudainement pendant plusieurs semaines face à l’impossibilité de l’ancienne administration d’entrer en ondes conformément aux directives d’Industrie Canada ou, si vous préférez, face aux premiers déboires officiels de la Radio communautaire de Lévis. Pourquoi ? Pour laisser une chance à l’ancienne administration de se tirer d’affaires sans que personne ne le sache. Il y a ici apparence de complicité des journaux locaux avec l’ancienne administration de la radio communautaire de Lévis pour cacher une information.



Puis viendra le refus de la Ville de Lévis d’émettre un permis pour l’installation de l’antenne de la Radio communautaire de Lévis sur le toit de l’immeuble où sont situés les studios. Cette fois, l’événement est public puisqu’il s’inscrit dans les travaux du Conseil de l’arrondissement Desjardins. Les journaux locaux se voient forcer de traiter le sujet mais leurs articles rapportent davantage les propos de l’ancienne administration de la radio que des autorités municipales. Et ce n’est pas tout, nous avons appris, de source sûre, qu’une membre de la presse locale se plaindra à la Ville de Lévis pour accuser cette dernière de ne pas faire correctement son travail dans le dossier du permis d’installation de l’antenne. Une intervention inadmissible de la part d’un journaliste.



Et c’est avec cette affaire de permis d’installation de l’antenne que la politique du droit de réplique «allongé» fait son entrée dans le décor de la couverture de presse de la Radio communautaire de Lévis par les journaux locaux. Peu importe l’intervenant, l’ancienne administration décrochera toujours davantage d’espace grâce au droit de réplique accordé par les journaux locaux. Bref, toute intervention de l’extérieure dans le dossier est littéralement noyée dans les propos de l’ancienne administration.



Mathieu Côté, un citoyen de Lévis, impliqué dans son milieu et passionné par les médias, interviendra de l’extérieur en portant plainte contre la Radio communautaire de Lévis auprès du CRTC et ses propos seront également noyés dans la réplique accordée à l’ancienne administration par les journaux locaux. Ces derniers laissent alors percevoir une simple opposition entre deux individus. Même si la plainte de monsieur Côté est très sérieuse et fondée de faits, les journaux cessent d’en parler après le droit de réplique à l’ancienne administration. Ce que la presse locale ne sait pas, c’est qu’elle se laisse manipuler par cette administration en lui donnant toujours le dernier mot.



Lors de l’arrivée de notre nouvelle administration en janvier 2011, nous avons cru que la relance de la radio communautaire de Lévis passait, ne serait-ce qu’en partie, par une couverture de presse des journaux locaux. Mais nous avons vite déchanté lorsque nous nous sommes aperçus que le président déchu avait encore et toujours le dernier mot dans ces journaux locaux. La contestation de la légitimité de la nouvelle administration par le président déchu dans les journaux locaux fut tout de même perçue comme un droit de réplique légitime. En revanche, nous ne nous attendions pas à ce que la presse locale persiste et signe en faveur de ce droit de réplique du président déchu à chacune des interventions de notre nouvelle administration. Malgré les faits rapportés et minant la crédibilité du président déchu, les journaux locaux accordèrent à ce dernier le même espace et un droit de réplique sans lui poser les questions qui s’imposaient. Les journaux locaux furent alors classés parmi les problèmes et non pas les solutions attendues dans le dossier de la relance de la radio communautaire de Lévis.

Nous avions donc pris la très sage décision d’intervenir à nouveau sur la scène publique uniquement après la tenue de l’assemblée générale des membres le 31 mais prochain, c’est-à-dire, une fois élus. Mais le Peuple Lévis a insisté pour que nous donnions une conférence de presse et nous avons cédé à la pression croyant dans la bonne foi du journal face à la relance de la Radio communautaire de Lévis malgré le droit de réplique systématique du président déchu qui minait nos efforts en ce sens.



Il y a donc eu une conférence de presse le 8 février dernier. Les deux journaux locaux étaient présents. Et après la présentation de l’orientation proposée pour la radio communautaire, nous avons critiqué le droit de réplique accordé automatiquement par les journaux présents au président déchu tout en leur demandant de prendre position en faveur de notre nouvelle administration dans un éditoriale spéciale. Il faut mentionner qu’aucun des deux journaux locaux ne publient d’éditoriaux et c’est pourquoi notre demande de prise de position était exceptionnelle. Ils ont refusé de prendre position et peu parlé dans leurs articles de l’orientation proposée pour la radio communautaire. Nous avons donc cessé d’adresser nos communiqués de presse aux deux journaux locaux, leur neutralité ne servant en rien la relance de la Radio communautaire de Lévis.



Contrairement à ce que vous écrivez, monsieur Fiset, notre administration n’a pas pour autant délaissé ses travaux de relance de la Radio communautaire de Lévis. Il n’en demeure pas moins qu’une part de ces travaux de relance consiste à faire le ménage du bordel laissé par l’administration précédente et cela ne saurait pas se faire dans l’ombre ou «sans trop faire de bruit» car la réputation de la Radio communautaire de Lévis au sein de la population est un enjeu incontournable de sa relance.



Ce qui fut rapporté dans les médias ne représente même pas 10% du bordel dans lequel le président déchu a laissé la Radio communautaire de Lévis. Si vous pensez qu’il s’agit d’un simple problème technique et de financement, vous vous trompez royalement. Comme je l’ai déjà mentionné, ces problèmes peuvent être rapidement résolus après l’assemblée générale annuelle, c’est-à-dire, l’élection officielle et formelle d’un nouveau conseil d’administration, et ce, en conformité avec les lois et les règlements généraux en vigueurs.



D’ici là, nous concentrons une part de nos efforts à régler les problèmes d’ordre administratif légués par l’ancienne administration. À titre d’administrateur responsable, nous ne pouvons pas balayer le passé sous le tapis et foncer comme si rien ne s’était passé avant nous. La loi oblige tout administrateur à prendre ses responsabilités autant face au passé, au présent qu’à l’avenir de la corporation dont il fait partie. Revenu Québec, Revenu Canada, Registraire des entreprises, fournisseurs, engagements financiers, comptes bancaires et états financiers ne sont que quelques-uns des dossiers à régler avant l’assemblée générale du 31 mars prochain. Il n’est pas question ici d«’amateurisme» mais de professionnalisme pleinement assumé.



Si vous pensez qu’alerter la population de fraude est du tapage, vous me décevez grandement. Vous oubliez les victimes de l’ancienne administration à qui nous devons une attention particulière pour repartir du bon pied.



Enfin, au sujet de Claude Thibodeau, je vous signale qu’il est le seul administrateur d’une station de radio au Canada à avoir vu son permis retiré par le CRTC. Il n’est pas une référence crédible à mes yeux.



Ici, la critique est bienvenue pour autant qu’elle soit constructive et je ne crois pas que ce soit le cas de la vôtre.



Serge-André Guay, président

Conseil d’administration provisoire

Radio communautaire de Lévis


Carl Fiset a écrit :

CJMD 96.9 FM Lévis Qui est Carl Fiset ?

C’est vrai. Vous avez raison M. Guay. J’aurai donc dû me poser la question plus tôt. Qui suis-je pour critiquer Daniel Gobin qui vous encourage dans votre projet et dont je me demande qui est-il et pour qui il se prend pour traiter les autres de quidam lorsque ceux-ci expriment une opinion contraire à la sienne. Qui suis-je pour critiquer Serge-André Guay qui ose relever CJMD? On peut jouer ce jeu puérile longtemps mais on n’avancera pas pour autant.

OK. Plus sérieusement, je vais réagir à quelques extraits de votre texte ci-dessus.

Vous écrivez « Contrairement à ce que vous écrivez, monsieur Fiset, notre administration n’a pas pour autant délaissé ses travaux de relance de la Radio communautaire de Lévis. » J’ai jamais écrit ce que vous affirmez. J’ai écrit que vous avez mis beaucoup d’efforts, trop selon moi, sur cette « guéguerre » au lieu de régler vos problèmes juridiques et administratifs davantage à l’interne, sans trop de bruit. Vous soulignez la qualité douteuse de la couverture des journaux locaux dans le dossier CJMD et c’est là que je crois que j’ai raison en affirmant que vous avez fait preuve d’amateurisme dans ce que j’appellerais cette gestion médiatique de la crise que traverse la station. À la suite de la lecture de votre article ci-haut, je dirais plutôt que vous vous êtes faits berner par les représentants des deux journaux locaux, que vous avez été un peu naïfs en ce sens. 

Vous affirmez ci-dessus que les journaux locaux sont davantage enclins à aller chercher la version de Lévesque à chaque dénonciation ou nouvel élément des agissements douteux de l’ancienne administration. Est-ce que vous vous êtes demandé pourquoi les journalistes font ça? Beaucoup de journalistes de tout acabit et de leurs supérieurs par la même occasion vont préférer une bonne chicane entre deux belligérants, une confrontation, des affaires croustillantes plutôt que de s’attarder à une belle histoire ou à un beau projet en devenir. Ça fait augmenter le lectorat/audimat et la vente de pubs pour EUX. Lévesque n’a plus rien à perdre, vous oui. Je crois que vous vous êtes mis beaucoup trop de pression inutilement en dénonçant publiquement et en publiant des communiqués de presse parce qu’à chaque fois que avez publié une dénonciation, il y avait une réaction de Lévesque. Vous avez déjà assez de vous démerder avec l’héritage de Lévesque, je ne trouve pas nécessaire pour le moment du moins de devoir dealer avec l’opinion publique et de jouer aux justiciers. Je peux presque vous affirmer à 100 % que c’est Lévesque qui appelait les journalistes pour leur donner sa version des faits, pour leur donner du « crunchy ». En tout cas, je peux vous affirmer que c’est ce qu’il a essayé de faire avec moi. Il voulait me contacter par téléphone pour me donner sa version des faits, pour implicitement que je publie ça sur mon forum, messages courriels à l’appui. J’ai ignoré la demande. Je suis depuis 2006 les boires et les déboires de CJMD et de Francis D. Lévesque en particulier, et connaissant ce dossier à fond, je peux vous dire que j’ai refusé l’invitation de Lévesque parce que je savais très bien que j’allais me faire bourrer. Je me suis dis qu’il n’a qu’à écrire directement sur le forum et qu’il assumera ses dires en considérant qu’il allait se faire « challenger ». Pour revenir au propos, je me suis aperçu depuis longtemps que les journalistes cherchent d’abord une bonne histoire qui va vendre plutôt que la vérité. C’est ainsi.

La seule autre chose qui m’accroche concernant votre gestion médiatique de la crise est de la nature suivante. Si j’étais représentant d’un organisme communautaire ou d’une compagnie locale et que potentiellement j’aurais pu acheter de la pub chez vous ou m’associer à votre projet et que je regarde ce qui s’est passé depuis janvier dernier, ce bourbier dans lequel vous êtes pris, je serais embêté quelque peu. Qui dit la vérité? Est-ce que je voudrais m’associer d’une quelconque façon à une station communautaire qui n’a pas encore vu le jour à toutes fins pratiques depuis deux ans, qui connaît de graves difficultés, avec une ancienne administration qui semble avoir commis des agissements douteux envers des fournisseurs et d’autres individus, avec en prime une guerre publique de dénonciations et de répliques entre la nouvelle administration et de l’ancienne? Dans une situation semblable à la vôtre, j’aurais réglé les problèmes à l’interne tout en dénonçant auprès des gens concernés les agissements de Lévesque dont ces derniers sont les victimes, d’appeler la Ville de Lévis pour utilisation frauduleuse de leur logo, à contacter la police pour porter plainte contre certains agissements de Lévesque et de les laisser faire leur travail sans dévoiler des éléments en cause publiquement. J’aurai fait le suivi de la situation en assemblée générale point. À trop vouloir dénoncer rapidement les agissements de Lévesque en public, ça crée selon moi un écran de fumée sur tous les efforts que votre équipe met pour mettre le fonctionnement réglo et repartir la station sur des bases plus saines. Et ça laisse sûrement une drôle d’impression chez Lévisiens qui observent ce qui se passe de loin dans le projet de relance. Pas nécessairement celle qu’on voudrait laisser. je serais curieux d’interroger des Lévisiens pour savoir ce qu’ils pensent de tout ça.

Source : https://www.facebook.com/notes/cjmd-969-fm-l%C3%A9vis/r%C3%A9ponse-%C3%A0-carl-fiset/173259726055814

@ Carl Fiset – Régler à l’interne sans trop faire de bruit pour ménager l’impression dans la population. Dès le départ, nous avons adopté une politique de transparence en contrepartie de celle plutôt opaque de l’ancienne administration. Cette page Facebook, notre site WordPress et les communiqués de presse émis témoignent de cette politique de transparence. Une telle politique s’imposait parce que les rumeurs très nombreuses et très négatives circulaient au sein de la classe dirigeante et des autres intervenants intéressés au sein de la population. Il nous fallait intervenir sur la scène publique pour mettre fin à chacune de ces rumeurs en rétablissant les faits et en annonçant nos actions. Bref, nous devions informer les intéressés que nous savions et que nous agissons en conséquence. Nous sommes bien au fait que cette approche a tout pour rebuter ceux et celles qui n’aiment pas les chicanes, majoritaire au sein de la population québécoise. En revanche, notre approche permet de passer une message très clair au sein de la population : la nouvelle administration n’est nullement intimidée par l’ancienne administration. Car problème d’intimidation il y a eu au sein de la population intéressée par la Radio communautaire de Lévis avec l’ancienne administration. Je fais ici allusion à toutes les personnes qui se sont impliqués dans le projet et à tous les bénévoles malmenés par l’ancienne administration. Aucune liste de ces personnes existent. Nous ne pouvions pas les rejoindre personnellement, d’où le saut sur la scène publique.

Dans ce contexte, nous attirons présentement au sein de la Radio communautaire de Lévis des combattants, des gens qui n’ont pas froid aux yeux, qui ne se laissent pas intimidés facilement et qui n’ont pas peurs de se lancer dans mêlée. C’est personnellement ce que je voulais et ce dont la Radio communautaire de Lévis a besoin pour se rendre jusqu’à l’assemblée générale annuelle le 31 mars prochain.

Nous savons aussi que notre approche embête sérieusement les partenaires potentiels de la Radio communautaire de Lévis. Le seul et unique moyen de clarifier la situation est de tenir une assemblée générale annuelle légitimant officiellement et devant la loi une nouvelle administration.

Dès l’annonce de la mise en place de notre Conseil d’administration provisoire en janvier dernier, monsieur Lévesque a levé un doute sur notre légitimité au sein de la population et, plus particulièrement, au sein de la classe dirigeante et des intéressés. Et nous savions dès lors que nous allions devoir vivre avec ce doute jusqu’à la tenue d’une assemblée générale, et ce, peu importe ce que nous ferions ou ce que nous ne ferions pas. Bref, nous n’avions absolument plus rien à perdre.

Nous ne pouvions tout de même laisser la population dans l’ignorance de l’arrivée de notre Conseil d’administration provisoire et travailler dans le plus grand silence pour soudainement tenir une conférence de presse le lendemain d’une assemblée générale annuelle tenue dans dans le plus grand secret. Une telle approche aurait bafoué les principes démocratiques qui nous sont si précieux. Nous devions à tout le moins informer la population de notre arrivée dans le décor. Ce qui nous a surpris, ce n’est pas la réplique de l’ancienne administration, mais l’ampleur du doute soulevé par cette dernière. À partir de ce jour, tout le monde nous renvoyait au lendemain d’une assemblée générale annuelle ou, si vous préférez, au lendemain d’une élection officielle d’une nouvelle administration. Ce faisant, toutes démarches officielles auprès de la population, du milieu communautaire, des jeunes et moins jeunes et de la classe dirigeante devaient impossibles.

Autrement dit, nous venions de perdre deux mois et demi parce que les gens ont donné prise à ce doute soulevé dès la première réaction de l’ancienne administration au lieu de se ranger derrière nous immédiatement. Du coup, nous pouvions rajouter tout ce qui nous tombait sous la main au sujet des frasques de l’ancienne administration car le doute avait déjà fait son œuvre. Et nous en avons rajouté et rajouté encore avec le seul espoir d’encourager la nécessité d’une nouvelle administration.

SUITE – @ Carl Fiset – vous écrivez: «À la suite de la lecture de votre article ci-haut, je dirais plutôt que vous vous êtes faits berner par les représentants des deux journaux locaux, que vous avez été un peu naïfs en ce sens.» Comme vous le savez, j’ai une certaine expérience des médias et cette dernière me commande de toujours leur donner une chance de participer à la construction ou à la reconstruction d’une projet dans la communauté qu’ils desservent. Le Peuple Lévis et Le journal de Lévis ont brûlé la chance qui leur fut offerte de s’impliquer dans la relance de la radio communautaire de Lévis.

Est-ce que cette approche laisse entrevoir une certaine naïveté ? Je ne crois pas. En revanche, je crois que les journaux locaux ne savaient pas à quoi ils s’exposaient en donnant un droit réplique automatique à l’ancienne administration à chacune de nos interventions. Les journaux locaux se voyaient déjà comme des partenaires indispensables au succès de la Radio communautaire de Lévis. Notre administration leur a appris que ce n’était pas le cas.

SUITE – @ Carl Fiset – Vous écrivez: «Vous affirmez ci-dessus que les journaux locaux sont davantage enclins à aller chercher la version de Lévesque à chaque dénonciation ou nouvel élément des agissements douteux de l’ancienne administration. Est-ce que vous vous êtes demandé pourquoi les journalistes font ça? Beaucoup de journalistes de tout acabit et de leurs supérieurs par la même occasion vont préférer une bonne chicane entre deux belligérants, une confrontation, des affaires croustillantes plutôt que de s’attarder à une belle histoire ou à un beau projet en devenir.»

Il faut aborder cette question dans le contexte particulier des journaux locaux. Dans le cas du Peuple Lévis, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un hebdomadaire de l’empire Quebecor qui fixe à 70% le contenu publicitaire. Dans ce contexte, ce n’est pas l’information qui fait vendre de la publicité mais la pénétration du journal dans les foyers. Dans le cas du Journal de Lévis, il s’agit à la base d’une coopérative d’annonceurs (et de travailleurs). Ici aussi, ce n’est pas l’information qui fait vendre la publicité mais la pénétration du journal dans les foyers. Autre point important à souligner : les deux journaux locaux sont offerts gratuitement. Peu importe la manchette ou les affaires croustillantes à la une, elles n’influencent en rien les profits de ces journaux locaux.

La réponse à la question «Pourquoi les journalistes des journaux locaux de Lévis sont davantage enclins à aller chercher la version de Lévesque?» n’est pas parce que «Ça fait augmenter le lectorat/audimat et la vente de pubs pour EUX.»

La réponse se trouve plutôt dans les liens entretenus par les journalistes avec Francis Daniel Lévesque. Dans le cas du journaliste Pierre Duquet, Peuple Lévis, sa complicité avec monsieur Lévesque fut portée à mon attention mais il était déjà trop tard pour m’en méfier.

Il a tenté de me tester en insistant pour que nous donnions une conférence de presse mais le résultat qu’il attendait ne fut certainement pas celui qu’il attendait. Le pont a sauté comme volée de brindilles.

Quand on veut se débarrasser d’un journaliste, il suffit de le critiquer sévèrement avec des preuves indéniables de son incompétences, ce qui fut fait lors de la conférence de presse.

Quant Marie-Christine Patry, Le journal de Lévis, je ne la connais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’elle a discuté avec Pierre Duquet, Peuple Lévis, après la conférence de presse et que son article était similaire à celui de Pierre Duquet : aucun mot sur l’orientation de la station (pour les organismes le jour et pour les jeunes le soit). Elle a écrit: «Le conseil d’administration de la radio communautaire CJMD présidé par Serge-André Guay a convoqué la presse le 8 février dernier afin de lui faire savoir l’orientation de sa future programmation, une conférence de presse perturbée par l’arrivée d’une mise en demeure.» Mais elle n’a pas informé la population de cette orientation. Dommage car elle m’apparaît plus encline à vérifier l’information et à être objective, si je me réfère à ses articles à la suite de la plainte de Mathieu Côté au CRTC. Quoiqu’il en soit, elle nous a offert un résultat similaire à celui proposé par Pierre Duquet à la suite de notre conférence de presse, et ce, peut être après concertation avec ce dernier.

En résumé, le lectorat et la vente de publicité n’ont absolument rien à voir dans l’approche des journalistes des hebdomadaires lévisiens face à la Radio communautaire de Lévis. Les journalistes ont fait librement leur choix.

La nouvelle administration a été beaucoup trop rigide face à la rigueur journalistique pour envisager un partenariat.

‎@ Carl Fiset – Vous demandez «Et pourquoi donc?» à la suite du commentaire «Sans nous, personne ne se lèvera.» C’est l’évidence même: parce que personne ne l’a fait avant nous.

A SUIVRE

Serge-André Guay, président
Conseil d’administration provisoire
Radio communautaire de Lévis



Source : https://www.facebook.com/notes/cjmd-969-fm-l%C3%A9vis/r%C3%A9ponse-%C3%A0-carl-fiset/173259726055814?notif_t=note_reply


Ma réaction :

Vous écrivez « Le conseil d’administration de la radio communautaire CJMD présidé par Serge-André Guay a convoqué la presse le 8 février dernier afin de lui faire savoir l’orientation de sa future programmation, une conférence de presse perturbée par l’arrivée d’une mise en demeure.» Mais elle n’a pas informé la population de cette orientation. » Peut-être que c’était seulement le fait saillant de votre assemblée. Une orientation, ça demeure théorique et large comme concept. Pas très concret.

Vous écrivez « La nouvelle administration a été beaucoup trop rigide face à la rigueur journalistique pour envisager un partenariat. » C’est pas un peu contradictoire comme affirmation? Vous vous plaignez depuis quelques semaines et ci-dessus encore que les 2 journaux locaux n’ont pas pris position en faveur du projet de relance de la station et vous affirmez sans rire ensuite que la nouvelle administration a été beaucoup trop rigide face à la rigueur journalistique pour envisager un partenariat. J’ai l’impression que ce que ça veut plutôt dire que « comme vous n’avez pris position en faveur de notre projet, vous êtes contre nous et nous mettons en doute votre objectivité et rigueur journalistiques ». Ça commence à être n’importe quoi votre affaire.

Serge-André Guay a écrit :

Notre orientation était au cœur de notre conférence de presse. Ce sont les journalistes qui ont décidé de ne pas en parler.

http://manuscritdepot.com/cjmdfm/cp-rcl.06.pdf

Je ne me plains pas de la couverture de presse des journaux locaux. Je rapporte des faits et je les analyses.

Votre impression est fausse car elle ne concorde pas avec l’historique des faits. Nous avons exprimé notre doute face à la rigueur journalistique et l’objectivité des journaux locaux lors de la conférence de presse du 8 février dernier, c’est-à-dire avant que ces derniers décident de ne pas prendre position. Notre doute ne surgit pas après les faits mais avant les faits, c’est-à-dire avant la décision des journaux locaux. Vous êtes donc dans l’erreur.

Nous n’avons pas l’impression que les journaux locaux sont contre nous. Nous croyons plutôt qu’ils ne sont pas à la hauteur en raison de leur manque de rigueur journalistique.

Nous avons conclu par la suite que la rigidité face notre rigueur journalistique ne nous permettait plus d’envisager un partenariat avec des journaux en manque de rigueur.

En terminant, j’aimerais savoir quel est votre lien avec la Radio communautaire de Lévis. Quel est votre intérêt à commenter ici et là les propos de notre administration ? Je vous ai mentionné déjà que je souhaitais des critiques constructives et non pas des commentaires du genre «Ça commence à être n’importe quoi votre affaire». Ce type de commentaires ne nous avance en rien.

Source : https://www.facebook.com/note.php?note_id=173259726055814&comments

Carl Fiset a écrit :

Mon lien ? Je dois avoir un lien coud’donc. 
 Pour ce qui est de mon intérêt à commenter, j’ai déjà fait de la radio communautaire (à CKRL), je fais encore deux émissions de radio, je m’intéresse depuis longtemps à la radio communautaire et ça adonne aussi que j’avais un forum sur la radio « Radio Monde » qui est rendu un blogue. Que voulez-vous de plus? Pour le reste, si ma réponse ne vous satisfait pas, faites votre enquête.


La démission de Francis D. Lévesque. Enfin, il lâche prise, pour le bien de la station communautaire:

POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
Lévis, le 15 mars 2011

LETTRE DE DÉPART

Lettre adresser au médias locaux

Depuis août 2004, je m’attarde a mettre en place ce projet qui me tenait a coeur soit d’offrir a la population lévisienne une station de radio bien a elle qui pourra faire en sorte que tous et chacun puisse y participer. Malheureusement dans nos effort remplis d’embuches de toute sortes, sans mettre la faute sur qui que ce soit. Et c’est loin de monintention de le faire, car selon le contexte de l’époque et des difficultés qui se sont présenter au cours de notre aventure. Nous avons pris les décisions qui s’imposait a ce moment précis afin d’atteindre certains objectifs.


Évidement, le parcours n’a pas été si facile. Comme vous le savez notre station internet s’est vu prendre une grande place au cours de ses dernières années qui s’est solder par l’acceptation de mon projet au du CRTC a titre de promoteur. Il ne manquait pas grand chose pour que ce soit une belle aventure. Par contre, a cette époque les engouementsde
la population n’était pas au rendez-vous. Malgré ses étapes difficiles, le temps incalculable, ces émotions qui ont remplis nos coeurs pour mettre ce projet a terme ne sont qu’une infime partie de mon intérêt a donner cette radio a la population.

Certain dira que notre administration n’a pas fait ce qui fallait et d’autre que nous avons abuser de la confiance des gens de notre milieu. Libre a eux de le penser. Mais dans les fait cela n’a jamais été
notre façon de faire. Effectivement, selon le contexte nous avons pris une tangente particulière pour ce projet. Mais les situations de force majeur nous obligeait a le faire afin de garder le cap sur l’objectif final soit de permettre a Lévis de se doter d’une station de radio bien à elle tel que nous l’avions conçu et penser en 2004.


Notre administration a accomplis de nombreuses réussite qui je croit ne doit pas être ignorer. Tel que les 5 a 7 en direct du début, des émissions a caractère communautaire, la diffusion des Commandeurs de Lévis qui était pour moi d’une importance énorme. Sans compter la place importante que nous donnions aux gens de la relève dans notre
programmation. Sans pour le moins oublier Opération enfant soleil ou l’Eucan qui a permis a certain de retrouver un sourire et un état de santé grâce a notre volonté de contribuer par vent et marré a atteindre des objectifs commun. Sans oublier qu’une station internet obtienne une licence auprès du CRTC en sachant que l’objectif ne serait pas facile. Mais nous avons garder en tête le résultat que cela donnerai aux lévisiens en retour. Et nous avons décider de foncer. Je peut vous dire que personnellement, j’étais fier de pouvoir y contribuer et d’être en
mesure de faire en sorte que nous soyons si près de notre communauté. Car pour certain nous avons fait la différence a de nombreux égards.
Par contre aujourd’hui j’ai pris une décision très difficile et qui me laisse le coeur et l’esprit en contradiction. Mon coeur me dicte de ne pas lâcher prise tel un capitaine de bateau qui reste jusqu’à la fin et ma tête qui me dicte que l’objectif principale c’est de permettre a cette radio d’être en onde le plus rapidement possible. Et le temps est compter autant pour nous que pour la nouvelle administration qui aura beaucoup de travail sur la planche afin d’y arrivée.


Donc c’est après quelques semaines de réflexion et d’une situation familiale difficile que j’ai décider de me retirer du projet de la radio communautaire de lévis sans toute fois ne pas avoir de remord ou de sentiment important pour cette aventure. Mais les dernières semaines ont été pour moi énormément éprouvante sur le plan de ma santé, du travail, humain, familiale et évidement de couple, que je devait faire quelque chose afin de reprendre ma vie en main. Par contre je suis fier de voir que certains individus de notre communauté sont prêt a relever le défi qui est d’importance pour Lévis d’obtenir sa radio.
Donc je resterai disponible a toute collaboration possible et inimaginable afin que la nouvelle administration puisse atteindre son objectif. Je resterai membre dans mon coeur a vie a cette radio quoi qu’il arrive tel un vrai artisan qui croyait fortement a sa réussite. Et
qui n’a pas eu peur de perdre tout ce qu’il aimait pour y arrivée. Car oui j’y croyait. Et j’y croit encore. Donc c’est pourquoi que dans le contexte actuelle des chose et des délais en vigueur. Je me devait de faire pour le mieux afin que ce projet ce rendre a terme.

Alors a partir d’aujourd’hui je donne au comité provisoire mis en place par M. Serge-André Guay toute la latitude afin de rendre a terme ce projet avec les gens qui ont décider de le seconder. Maintenant j’invite la population a bouger et a foncer comme nous l’avions fait a participer activement a l’assemblée générale qui aura lieu le 31 mars prochain afin de faire vivre cette radio.


De plus, à partir d’aujourd’hui le site internet de notre ancienne administration CJMDFM.NET ne sera plus accessible via internet et nous redirigerons le nom de domaine vers le site de la nouvelle administration. Maintenant je vais me concentrer sur ce qui important pour moi et de reprendre les reines de ma vie afin de la reprendre ou j’ai laisser a cause de mon interêt pour la radio, a mes enfants que j’aime. Par ailleurs je ne ferait plus d’intervention auprès des médias ni d’entrevue pour quelque raison que ce soit afin de laisser place au nouveau comité de se mettre au travail.

Francis-D Levesque
Fondateur de CJMD 96,9 Lévis

Source : http://manuscritdepot.com/cjmdfm/demission-francis-daniel-levesque.pdf

Et c’est ainsi que la radio communautaire de Lévis a pu prendre réellement son envol. Et ne croyez pas que malgré tous nos commentaires et nos objections, nous voulions du mal de ce projet…